La jupe jambes un peu cartes pour tre plus lesreleve jusqu’ aux hanches, stable, je suis à moitié allongée sur le capot encore un peu chaud de la voiture, dans ce coin l’ cart du parkingDe toute façon, à cette heuredu supermarché. tardive, il n’ y a que nous dans cette zone industrielle. C’ est pour cela qu’ on y vient régulièrement.
Autour de nous, des hommes qui regardent. Leurs voitures sont garées un peu plus loin, et j’ en entends encorarrivent. Ce soir, mon homme a annoncé :e qui « soirée casting ! ».
Le but est de trouver un ou deux hommes pour faire une soirée à la maison. Seul impératif, qu’ ils soient capables de me est pas gagnfaire jouir et a c’venant d’ un inconnu. J’ ai besoin d’ un certain feeling pour me lcher. A ces messieurs de faire ce qu’ il faut pour.
J’ aime bien ce genre de situation. Me faire sauter dessus successivement par tout un tas de types que je ne connais pas. Et mon homme adore me voir me faire prendre, sachant lui avecle dernier de la soire et qu’que ce sera lui , même épuisée par tous les autres, je grimpe aux rideaux à coup sûr.
Le troisième candidat vient de se rhabiller. Le verdict est clair : éjecté. Lui, il en a bien profité, mais moi, pas. Un vrai marteau-piqueur. Aucun intérêt. Dommage, il était plutôt mignon. Pas le cas de celui qui se présente maintenant et qui l’ homme fait signe d’ approcher….
Il s’ avance lentement et pose ses mains sur le haut de mes cuisses. Mais contrairement au précédent qui avait sorti son engin dj tout raide et m’ avait enfilée direct, sans prendre la peine de me préparer, pensant sans doute que le
passage des deux premiers l’ en dispensait, lui se baisse, m’ carte un peu plus les jambes pour se faire un passage et se mets à me lécher. Et en plus, il fait ça bien.
Il y a trente secondes, je n’ auraispas mis un kopek sur ce type l’ allure un peu voutée, au visage pas spécialement avenant, au regard timide. Mais là, waouh !!! Il pourrait presque me faire décoller rien qu’ avec la bouche.
J’ ai les bras carts, les mains plat sur le capot pour me maintenir, un seul pied qui repose par terre et je sens mes reins qui commencent à se cambrer.
Ses deux mains écartent ma chatte et sa langue me parcourt de façon modulée, tantôt à plat, tantôt en pointe.C’ est chaud, humide, trs agrable et trs excitant. Je cherche mon homme du regard. Je sais qu’ il me surveille du coin de l’ il, au cas o. Il me jette un regard rapide et je lui souris lgrement. Je me détends.
Mon partenaire du moment continue à me lécher, tantôt fort, tantôt plus légèrement, et une de ses mainsremonte pour m’ carter encore plus et découvrir complètement mon clitoris. De son autre main, il commence à caresser l’ entre de ma chatte avec un doigt. Il me maintient écartée avec ses avant-bras. Je est tait si costaud quand il s’ avais n’ il pas remarqu qu’ approché.
Sa langue court sur moi et ses doigts aussi. C’est hallucinant ce qu’ il me fait, j’ ai rarement rencontré des hommes capables de donner ça à une femme. J’ ai du mal à rester concentrée, je sens que je vais lâcher. Des gros soupirs commencent s’ chapper de ma gorge.
Ça m’ a prise d’ un coup, je ne l’ ai mme pas senti venir. Mon ventre s’ est contracté violement, je me suis à moitié redressée et un hurleme ant m’ échappé avais. J’ le la chatte en feu, clito tout raide sous sa langue et je
dégoulinais sur ses doigts. Autour de nous, certains hommes ont fait des commentaires, de rares ont mme applaudis et d’ autres sont partis, comme persuads qu’ ils ne feraient pas mieux.
J’ ai mis mes deux mains sur la tte de l’ hommepour le forcer à rester en place et j’ ai continu jouir bruyamment tandis qu’ il poursuivait ses travaux de langue et ses caresses.
Je suis incapable de dire combien de temps cela à durer, mais à un moment, il s’ est redress.Sans me lcher, s’ il ne pas que je glisse, pour mis debout est entre mes jambes. C’ est l que je me suis aperu que j’ avais les pieds relevs, que j’ tais moiti recroqueville sur moi-même à cause des spasmes des orgasmes et que lui seul me maintenait sur le capot.
En me tenant toujours, il a défait son pantalond’ une seule main, a sortir son sexe complètement gonflé et a commencé à se masturber en posant son gland contre mon clitoris. J’ tais merveille de la taille de qu’l’ enginil venait de sortir. Pas démesuré mais plutôt volumineux, comme je les aimequand j’ ai vraiment envie de baiser. De plus, il se tenait droit. Plus rien à voir avec le type que j’ avais vu s’ avancer et qui faisait presque piti. Il avait dj bien montré ce qu’ il tait capable de faire et il le faisait trs bien.
J’ ai donn un nouveau coup d’ il l’ homme qui souriait discrtement, juste au moment où mon partenaire a commencé à enfoncer sa queue dans ma chatte béante et ruisselante.Je l’ ai sentie me prendre progressivement, toute entière, me remplir, d’ abord en largeur, puis en profondeur.
Il avançait lentement, par petits à-coups, mais sûrement, un peu plus profond à chaque mouvement. J’ avais la fois l’ impression qu’ il n’ en finissait pas d’ avancer et l’ envie qu’ il ne s’ arrte pas de progresser jusqu’au fond de mon ventre. Je me sentais comblée, au sens propre comme au figuré.
Sentir cette grosse queue, qui me remplissait totalement, bouger lentement en moi, me faisant comme un massage, c’ taitfabuleux. Je le sentais sur toute sa
longueur, et quand il avanait, songland heurtait le fond en m’ arrachant des soupirs de plaisir.
A un moment, j’ ai senti l’ anneau du prservatif (qu’ il avait d mettre la vitesse de l’ clair, sans que je m’ en aperoive) et j’ ai cru qu’ il ne pourrait plus avancer, mais il ne s’ est pas arrt pour autant.
Pour me prendre encore plus profond, il m’ a cart encore un peu les jambes, a dgag mon clitoris et s’ est pench lgrement vers l’ avant. Il a comme a réuss excitant la fois par dehors etit craser son pubis entre mes jambes, m’ par dedans. Puis il m’ a prise par les hanches, m’ a souleve lgrement et m’ a faite bouger en petit cercles pour mieux me masser. Essayant de me cramponner au capot, je me laissais faire tout en tentant de retenir une vague de plaisir qui se faisait de plus en plus grande et pressante.
Il m’ a repose sur la voiture, m’ areprise par les hanches de faon beaucoup plus ferme et appuyée, est sorti presque intégralement de moi puiss’ est précipité au fond en un seul mouvement. Le choc provoqué en arrivant en mme temps en plein sur mon clito et au fond de ma chatte m’ a arrach un cri. Il s’ est arrt un instant, m’ a regard d’ un il malicieux, a soulev un sourcil interrogateur, et comme je lui souriais, il a recommencé, une fois, deux fois, trois fois, sortant lentement et entrant brusquement et à fond. A chaque fois, un cri, se transformant au fil des coups de butoir en râle p chappaitrofond, s’ de ma gorge et bientt c’ est un seulcri, long, modulé par ses élans, mais de plus en plus fort que j’ ai pouss. Un crinorme, la limite de l’ humanit,un cri à la fois de plaisir et presque de douleur tant ses coups étaient forts.
Je me suis retrouvée comme une loque, étalée sur le capot,et j’ ai devin plus que je n’ ai rellement vu un sourire sur son visage, juste avant qu’ il ne se retourne et qu’ il ne s’ en aille.
D’ un coup d’ il, j’ ai demand pour reprendre hommeun peu de temps l’ mon souffle. je les jambes qui tremblaient,J’ avais ne tenais presque plus par moi-même, mais mon inconnu avait pris la précaution de me reposer les pieds par terre avant de partir.
J’ ai vu l’ homme le rattraper et noter quelque chose. Son numro de tlphone, sans doute.
Le candidat suivant, le cinquième, est en fait celui qui est arrivé le premier. Mais il n’ a pas voulu ouvrir le bal. Sans doute prfrait-il observer les autres pour tenter de faire mieux.
Il s’ avance maintenant, l’ air sr de lui, comme si le fait que j’ ai implos dj plusieurs fois allait déclencher des orgasmes en série.
Il est jeune, a le regard un peu frondeur, ses yeux se plongent dans les miens et semblent me dire : « tu vas voir, cocotte, à qui tu as affaire dommage Mais … pour lui, cette fronde me pousse à lui résister, à lui montrerqu’ il n’ est pas le « super baiseur Intrieurement, il croit. qu’ qu’ ilj’ espre est aussi nul que l’ avant dernier, sinon, aprs l’ ouragan qui vient de me passer dessus, je risque d’ avoir du mal me concentrer.Je rassemble mes forces.
Il s’ approche de moi lentement, tout en commençant à se déshabiller. Les prcdents n’ avaient pas pris cette peine et s’ taient contents de baisser leur pantalon et leur caleon, quand ils en avaient un, voire d’ ouvrir leur chemise. Lui enlve tout au fur et mesure qu’ il vient vers moi : les chaussures, le pantalon, le boxer. Pour finir, il m’ effleure le visage de son T-shirtqu’ il jette ensuite par-dessus son épaule. Il est entièrement nu devant moi. Il aurait une coque, on pourrait le prendre pour un chippendale. Plutôt musclé, le corps complètement lisse, des cuisses de coureur, et toujours ce regard qui dit «admire moi, je je vais te baiser et te faire hurler,suis l’ amant idal et je serai le seul que tu retiendras de la soirée ».J’ aperois peine son membre qui n’est pas encore raide.
Comme s’ il pouvait ne serait-ce que penser que son prdcesseur n’ tait pas slectionn d’ office…
Sans me quitter des yeux, le regard enfoncé dans le mien, il explore rapidement mon anatomie avec ses mains et m’ enfonce rapidement undoigt dans la
chatte. Je ne sens pas grand-chose. Ses doigts sont longs et fins, et je suis encore dilatée du passage en moi de ce type improbable.
Mon frondeur sent bien que je ne ragis pas. Son regard s’ intensifie et je sens un second doigt venir rejoin avais anticip ce qu’ il allait faire et J’dre le premier. je ne réagis donc pas plus fort que moi, je. C’ est pas son air hautain, n’ aime mais plutt que de le virer tout de suite, j’ai envie de savoir ce qu’ il sait faire… .
Pour le moment, ce n’ est pas extraordinaire…
Le jeune coq fait ce qu’ il peut pour cacher sa dconvenue mais sa physionomie change. Il n’ aime pas ne pas me faire d’ effet. Je sens un troisime doigt, rapidement suivi d’ un quatrime qui entre en moi. Ses doigts sont fins et sa main aussi, mais à quatre, forcément, je le sens qui entre. Il surveille mon visage, et malgré mes efforts, mes yeux clignent quand je commence à sentir ses doigts bouger en moi, me caresser de l’ intrieur, et sa main entrer et sortir très légèrement. Il a décidé de se la jouer lent et progressif, semble-t-il.
D’ un coup, il se baisse et disparait entre mes jambes. Je soulve la tte mais inutile que je me demande o il est, j’ ai la rponse immdiatement. Sa main libre a dgag le passage vers mon clitoris. Il m’ carte très largement, sa bouche se pose et il m’ aspire littralement, me faisant monter et descendre dans sa bouche. Il me tte, et c’ est d’ une efficacit incroyable. respire Je rapidement. Je ne veux pas lâcher maintenant mais j’ai beaucoup de mal à me concentrer. Son autre main n’a pas arrêté de bouger. Je tourne la tête vers l’homme qui n’a rien loupé du spectacle, il me sourit, et je me mets à hurler.
Arborant un sourire qui découvre toutes ses dents (blanches, bien alignées), mon jeune vainqueur se redresse légèrement, sans décoller sa bouche de mon clito qui n’en peut plus de jouir, je vois son bras qui s’agite un peu et je comprends qu’il enfile quelque chose. A peine quelques secondes plus tard, il est en moi, sans avoir enlevé ses doigts. Il me prend avec force, presque brutalement, j’ai l’impression de ne plus pouvoir respirer mais je continue à crier de plaisir.
Il m’épuise d’allers retours vigoureux et je ne peux plus m’arrêter de jouir.
Soudain, il se penche sur moi, libère sa main occupée, se colle à moi, me sert contre lui puis me redresse. Je mets quelques secondes à comprendre et je me retrouve accroupie sur lui. Il est allongé sur le capot, il me tient par les hanches et me fait bouger autant qu’il peut. J’ai du mal à tenir, je pose les genoux de part et d’autre de son bassin et je m’enfonce sur lui.
Il m’fesses et je le vois qui regarde sur le côté. Je tourne la tête àécarte les mon tour. L’homme m’interroge du regard puis me désigne un autre type qui arrive, le pantalon déjà sur les chevilles. Je fais signe que oui.
Mon jeune partenaire met une main sur mon visage et le ramène vers lui. Il appuie un peu sur mon dos pour que je me couche plus sur lui et je sens de nouveau ses mains qui m’écartent derrière.
Un instant plus tard, je sens l’autre homme qui commence à entrer, très lentement en moi. Il est doux, il bouge par très légers à-coups et s’enfonce progressivement, tandis que celui auquel je fais face continue à me faire bouger sur lui.
Je sens leurs deux membres qui se touchent à l’intérieur de moi et je me remets à jouir. Je me ressers tellement que je sens le sexe de l’homme qui est derrière se mettre à battre puis s’amincir presque immédiatement. Mon autre partenaire se tend une dernière fois en moi en m’enfonçant autant qu’il le peut sur sa verge.
Pendant qu’il se rhabille, se reprend mes esprits. Malgré tout ce qu’il m’a fait et l’énorme orgasme qu’il a fini par avoir, il n’a pas l’air fatigué, à peine un peu essoufflé. Son copain, dont j’peine vu la silhouette, a déjà disparu.ai à
Je suis de nouveau allongée sur le capot, les jambes écartées.
Je tourne ma tête vers l’homme qui pour la première fois de la soirée s’Il se penche pour me demander à lapproche de moi. ’oreille si je veux continuer. J’aimerais, mais je sens que mon corps ne va pas vouloir. Je lui fais signe que non.
Il se redresse et se dirige vers les quelques candidats encore persuadés qu’ils peuvent faire mieux et leur explique. Fin des castings pour ce soir. Les gars s’font signe de la main. Léloignent, certains me ’homme glisse un papier dans la main du jeune étalon et revient vers moi. Il me prend par les hanches, m’attire contre lui, ouvre son pantalon, en sort son sexe complètement turgescent et le met en moi doucement. Je suis épuisée mais je sens le plaisir monter de nouveau. Lentement, il entre et sort de mon ventre, déclenchant un orgasme doux et progressif.