Un tableau volé, une prise d’otages, un otage enlevé, retrouvé mort quelques heures plus tard. Ainsi commence la difficile enquête de Jean Levigan, qui va le conduire à s’intéresser au passé trouble d’un professeur de piano que tout le monde s’accorde à trouver "sans histoires". Au passage, comme dans son précédent roman ("Morte saison sur la Jetée-Promenade"), Carine Marret nous emmène à la découverte des trésors cachés de la ville de Nice, ici son Musée des Beaux-Arts et l’œuvre picturale de celui qui est resté son conservateur pendant près d’un demi-siècle, Gustav-Adolf Mossa. Ce second opus n’a pas le charme du premier, mais on prendra plaisir au style simple, tout de fraîcheur, de cette amoureuse des belles choses…