Les visiteurs “Per horus ! Et per ra ! Et per solem ! In vitus ! Gucere !” Où sont les poulardes, jai faim. Où sont les veaux, les rôtis, les saucisses, où sont les fèves, les pâtés de cerf ? Quon tripaille à plein ventre pour oublier cette injustice ! Il ny a pas quelques soissons avec de la bonne choivre, du porcelet, une chèvre rôtie, quelques cygnes blancs bien poivrés ? Ces amuse-bouches mont mis en appétit ! » Ah ! Cétait beaucoup plus accueillant autrefois. On faisait brûler des arbres entiers, il y avait de beaux tapis sur les sols et les murs. Il ny avait pas une soirée sans jongleurs, ménestrels et ribaudes. Jai souvenance dune nuit, où un cracheur de feu avait enflammé la coiffe de Dame Flegmonde, on avait dû la jeter toute habillée dans les douves, qui étaient gelées ! »