Au cours des années quatre-vingt-dix, le parc de logements haut-normands a évolué près de trois fois plus vite que la population. Les résidences principales y sont prédominantes. Elles ont fortement augmenté depuis 1990 (près de 10%). En contrepartie, le parc des résidences secondaires s'est réduit. Le département de l'Eure s'avère plus atttractif que la Seine-Maritime. Périurbain et rural connaissent des évolutions fortes, au détriment des pôles urbains. Ainsi, des zones de croissance se forment autour des couronnes périurbaines et dans l'espace rural à l'ouest de l'Eure, alors que l'est de la Seine-Maritime reste quasiment au niveau de 1990.