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Description
« Je suis sans drame, Sei bella come un angelo, tu es l'amour, Sono felice ti amarti, je réclame la vie tout alentour... » (Belle comme un ange)
C’est en vers, mots entremêlés de sonorités italiennes, partage de couleurs et d’émois, que le poète choisit de s’adresser aux femmes. Elles s’appellent Violette, Shirley, Karina ou bien encore Bianca, audacieuses, douces ou sensuelles, toujours délicieuses, « le cœur pluriel », il ne peut que frissonner.
« Écrire les plus beaux poèmes [...] Danser n'importe où », telle est la destinée du chansonnier amoureux qui rime avec délices l’océan infini de la divine Aphrodite, emportant avec lui le lecteur ensorcelé par tant de beauté.
Sujets
Informations
Publié par | Edilivre |
Date de parution | 07 janvier 2021 |
Nombre de lectures | 0 |
EAN13 | 9782414515509 |
Langue | Français |
Informations légales : prix de location à la page 0,0037€. Cette information est donnée uniquement à titre indicatif conformément à la législation en vigueur.
Extrait
Couverture
Copyright
Cet ouvrage a été composé par Edilivre
194, avenue du Président Wilson – 93210 La Plaine Saint-Denis
Tél. : 01 41 62 14 40 – Fax : 01 41 62 14 50
Mail : client@edilivre.com
www.edilivre.com
Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction,
intégrale ou partielle réservés pour tous pays.
ISBN numérique : 978-2-414-51551-6
© Edilivre, 2021
Douceurs du petit matin
Il me semble bien que tu sois belle
La liesse continue encore au petit matin
Nue dans les draps jusqu’au lendemain
Tu reposes telle une déesse dans ma citadelle
Il me semble bien que tu es une gazelle
Je caresse ton visage d’une douce main
Nue sur la couche, je ne veux être inhumain
Tu dors profondément, tu es si charnelle
Le diable au corps
J’entends encore les chants de la veille
Nous avons follement dansé, nus sous la treille
Les fleurs vont éclore
Dans le vermeil de l’aurore, flottent déjà les senteurs
Elles se mêlent à ton parfum suave, tout en douceur
Parchemin
J’écris pour rimer l’amour, mon énergie
Mes mots sont la synthèse
Les sonnets, ma thèse
Je cherche les maux, je ne trouve aucun délit
Je griffe le parchemin, ma vie
Je rime à l’aise
Les sonnets, mon exérèse
J’opère les maux, je ne trouve aucun conflit
Mon bonheur, c’est d’aimer
Ce parfum de la vie, plaisirs jamais vendus
Le chemin d’un homme habile et prévenu
Ma joie, c’est de m’élever
Ce triple alto en équilibre constant
Le saut d’un être humain garanti jamais distant