Exposition Au quotidien - Dossier de presse

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AU QUOTIDIEN EXPOSITION PHOTO COLLECTIVE Espace Beaurepaire, du 31 octobre au 13 novembre 2011 28, rue Beaurepaire 75010 Paris - Métro République et Jacques Bonsergent Lundi-vendredi : 14h-19h / Samedi-dimanche : 14h-20h Dimanche 13 novembre : 14h-16h Vernissage vendredi 4 novembre 18h30-22h Dossier de presse
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AU QUOTIDIEN
EXPOSITION PHOTO COLLECTIVE
Espace Beaurepaire, du 31 octobre au 13 novembre 2011 28, rue Beaurepaire 75010 Paris - Métro République et Jacques Bonsergent Lundi-vendredi : 14h-19h / Samedi-dimanche : 14h-20h Dimanche 13 novembre : 14h-16h Vernissage vendredi 4 novembre 18h30-22h
Dossier de presse
PRESENTATION
À l’occasion des Rencontres Photographiques du 10ème arrondissement à Paris, sept photographes sont réunis par Carlo Werner, commissaire général du festival et programmateur à l'Immix Galerie, pour une exposition intitulée "Au quotidien". AvecLa Photocopieuse et ses portraits pris sur le vif, Julien Benard révèle le petit théâtre communautaire de la vie de bureau. À travers un regard sur les femmes loin des archétypes sociétaux, Richard Chevallier nous emmène dans leur quotidien transfiguré pour découvrir une féminité sans complexe. Clara Chichin présente un travail intimiste et introspectif, un regard porté sur l’autre, teinté de deuil, avecAnd now I’m saying worst and worst as he said. Rien. ne s’assagit. Nicolas Gallon vous propose avec le sujetPortrait de la France d'en bas de suivre les pas de nos concitoyens pour un portrait série de notre société. Suivez Tab imagine(s) et les empreintes laissées au quotidien par les choses que nous perdons, soleils noirs ou vents nouveaux, mises en images à partir de témoignages réels. Dans son expositionRaisons X, Véronique Varlet frôle des raisons de ses limites. Venez de même découvrir les travaux d’Antoine Zawislak. LIENS
 e Rencontres Photographiques du 10 : http://rencontresphoto10.com/
Julien Benard
La Photocopieuse
Quoi de plus caractéristique et de plus banal dans la vie de bureau qu’une photocopieuse ? Tout le monde s’y rend, interchangeable mais singulier, répète les mêmes gestes, machinalement, depuis le lancement de l’impression jusqu’au contrôle du résultat. On « va à la photocopieuse » seul, absorbé dans ses pensées ou par la tâche à accomplir. On s’accorde alors une petite pause. Parfois on croise un collègue en chemin. Photocopier, imprimer, c’est une histoire de duplication. C’est le fil conducteur de cette série de photographies, répliques d’un même cadre, le couloir entre l’espace de travail et la salle des machines. A peine sorti de dix années passées dans cet univers que j’avais choisi de quitter, je me suis retrouvé par hasard nez à nez avec ce petit théâtre communautaire autrefois si familier. Biographie Julien Benard, né en 1975, est auteur photographe indépendant à Paris. Avec un sens aigu de l’observation, il porte un regard décalé sur ses contemporains. Il mène de front ses recherches personnelles et des commandes dans des domaines variés comme le portrait, la photo documentaire ou le reportage de communication. Contact www.julienbenard.com contact@julienbenard.com
Richard Chevallier
I can’t sleep at night
A travers un regard sur les femmes loin des archétypes sociétaux, le photographe nous emmène dans leur quotidien transfiguré pour découvrir une féminité sans complexe, et sans vulgarité. Des corps porteurs de leurs propres histoires assumées deviennent à la fois phantasme et réalité. Ils nous lient dans un équilibre fragile et émouvant à travers une atmosphère qui nous dévoile le mystère d'une féminité merveilleuse de beauté et de grâce. Biographie Richard Chevallier est photographe professionnel et travaille parallèlement dans l'audiovisuel. Sa démarche riche d'expérience pratique, s'ouvre et se découvre dans les galeries parisiennes, quand en 2004 il est lauréat des rencontres photographique de Paris. Il expose ses carnets de voyages. Depuis son œuvre s'affirme et ne cesse de surprendre. Contact richardchevallier@voila.fr
Clara Chichin
And now I’m saying « worst and worst »
as he said. Rien. ne s’assagit.
Tous ces gens de dos Face à un mur, un buisson, un paysage, rien – perspective bouchée – et la dernière danse et puis des paysages, des animaux morts Est-ce ainsi que je trame mon deuil ? Rien de front, sur mon père à mon père. Penser sans arrêt aux images, me projeter, me faire devenir, les faire devenir.. Biographie Clara Chichin, pratique la vidéo, l’écriture et la photographie, les associant parfois, à la recherche d’une émotion poétique, donne à voir des oeuvres intimistes. A cause d’un rêve et You know for the true I won’t take photos of any sickness, deux journaux d’un deuil mêlant écriture fragmentaire et photographie illustrent cette proximité ressentie. En Juin 2010 elle réalise Correspondance -s-, un montage vidéo de photographies en collaboration avec le musicien Regis Charrier, qui marque une nouvelle étape dans son travail. Ses images, tout en conservant en filigrane un même registre émotionnel, s’ouvrent davantage. Aujourd’hui elle poursuit son travail en affinant son regard porté sur l’autre, en continuant son introspection, toujours sensible au jeu de l’écriture, à une certaine forme de narration. Contact http://clarachichin.blogspot.com/
Nicolas Gallon / Contextes
Portrait de la France d'en bas
La première fois, je l’ai suivi du regard, je lui ai filé le train et l’ai immobilisé dans ce mouvement gracieux de la marche. Quelques mois plus tard, une deuxième rencontre, puis une troisième et mon regard qui ne cesse de descendre sous la ceinture. Le jeu devient système et révèle, à mesure qu’il s’enrichit de nouveaux postérieurs, sa capacité à faire portrait. Chacune des photographies porte ses indices et amorce un dessin, des traits de caractère. Par la souplesse des gestes, on peut deviner les âges ou l’état de santé ; les attributs, sacs en plastiques, instruments de musiques…, racontent des activités; surtout, les peaux, vêtements et accessoires trahissent des positions sociales, la réussite comme la précarité. La difficulté du sujet à contrôler l’image de cette partie de son corps lui confère une étonnante vérité. La prolifération de ces portraits, leur caractère sériel, nous amène à penser leur espace, leur contexte. Le camaïeu de gris-bleuté, avec lequel contrastent parfois violemment les vêtements colorés, révèle d’emblée la ville parisienne. Trottoirs, plaques d’égouts et pieds d’arbres cerclés de fer forment un décor répétitif, un lieu commun.
La plongée du regard rend instable les espaces familiers, transmue les horizontales et les verticales en un réseau d’obliques contradictoires. Le point de fuite s’accélère et produit une tension avec la balance des corps. La sensation de mouvement laisse alors la place à la pesanteur : les sacs, les caddies lestent, les lacets, laisses et bandoulières deviennent autant d’attaches qui relient à l’espace urbain. De la série naissent de multiples tensions : entre envol et pesanteur, singularité et communauté, répétition et différence. Michèle Martel. Biographie Photographe de presse, Nicolas Gallon couvre l’actualité en France pour l’agence Wostok press durant de nombreuses années. Il rejoint l’équipe de l’agence Editing en 2006 pour laquelle il fournit régulièrement des images sur la vie sociale, politique et économique actuelle. Parallèlement, il traite des sujets à long terme s’immergeant plusieurs mois au sein de son sujet (l’handisport, la cite des morts au Caire…) afin d’en sortir des images plus pertinentes. Ces travaux ont reçu le soutient de nombreux titres de presse : Le Monde, L’Équipe, Le Nouvel Observateur, et ont été régulièrement exposés : Festival du scoop d’Angers, ministère de la jeunesse et des sports, Espace Confluence, Centre Culturel Français à Belgrade. Il fait partie du collectif de photographes Contextes depuis juin 2007. Contact www.contextes.org
Tab imagine(s)
Empreinte(s) & Chose perdue
Acte II
Postulat: notre mémoire n'est pas un miroir photographique mais un puits itératif. Question: gardez-vous l'empreinte entêtante d’une chose perdue? Indice: la vie est dans les détails. Certaines choses nous marquent par leur disparition. Objets de consommation ou expériences? Leur perte peut laisser une empreinte plus prégnante que la chose elle-même. Mis en images, des fragments d’histoires – témoignages et interprétations-, sillonnent entre les soleils noirs de la mélancolie et les vents nouveaux. Biographie Barbara Portailler, alias Tab imagine(s), met en images les détails du quotidien. De l’intimité à l’autre, elle enregistre au temps faible, des fragments de vie, de ville, d’ailleurs…en surimpression sur des fragments d’elle, des autres, pour tenter de révéler une émotion à partager. Un credo. Enregistrer, projeter et partager, l’éphémère et les souvenirs qui s’altèrent à mesure que la mémoire les sollicite. En images, dans la rue, ou en interaction avec les visiteurs. En novembre 2009, elle réalise ses premiers affichages dans la rue et oriente ainsi une partie de sa création vers le land art avec le collectif Echoués ou en solo. En octobre 2011, elle réalise pour le vernissage des Rencontres Photographique du 10e, Echoués (à) l’Heure Bleue, une projection interactive de photographies, en collaboration avec le photographe JJacques, le musicien Clément Lainé et le mixeur de sons Benjamin Grangeret, qui marque une nouvelle étape dans son travail toujours plus ouvert vers la participation de l’autre. Diaporama projeté à la Mairie du 10e arr. du 27 octobre au 3 décembre 2011. Contact www.tabimagines.com http://echoues.tumblr.com
Véronique Varlet
Raisons X
Véronique Varlet frôle des raisons de ses limites.
Biographie Véronique Varlet est assistante photographe à la fin des années 80. Elle part vivre à Los Angeles mais un accident l'oblige à donner une autre tournure à ses ambitions de photographe pendant un moment. A paris, elle est comédienne depuis l'âge de 27 ans. Véronique écrit aussi beaucoup de choses qu'elle ne montre pas encore et semble avoir X raisons de ne pas révéler ce qui l'inquiète. Dans “Raisons X”, elle en trouve d'autres pour vous mettre sur les traces des chemins qu'elle ne parcourt pas, des routes qu'elle prend sans s'arrêter, des portes devant lesquelles elle hésite, et des cours d’eau dans lesquels son esprit plonge. Elle se demande si il y a quelqu'un et préfère ne pas savoir. Elle reste pour ne pas être déçue d'être partie. Face à son travail, on sent une prudence face aux limites, et l’envie irrépressible de les franchir, ne serait-ce qu'en exposant pour la première fois . Contact veronique.varlet59@gmail.com
Antoine Zawislak
Révélations
Il existe des signes que nous percevons mais ne remarquons plus, des signes impératifs qui dictent nos conduites. Leur disparition organisée (dissolution, neutralisation) révèle leur force et notre conditionnement. Et l'on constate également qu'il est probablement moins compliqué d'être myope que daltonien… Biographie Antoine Zawislak est également photographe. Il a déjà exposé, il n'a pas encore explosé, mais il exposera encore.
Contact zawislak@free.fr
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