)5$1&. /2=$& + JOURNAL2000 1 Janvier * Lapuissance d'écriture est en contradiction avec le relationnel poétique. D'un côté, l'on déploie une force cérébrale imposante avec des applications lourdes, de l'autre il ne s'agit que de civilités, de grâces aimables et sourires courtois. * Aucommencement est la logique d'Aristote, vraie, évidente, simple, puis la logique floue apparaît avec sa fourchette d'exactitude, employant des concepts moins précis, que l'on utilise pourtant quotidiennement; de l'une à l'autre, il y a les probabilités pascaliennes qui imposent les notions de hasard, de possibilités, de combinaisons, d'états différents quantifiables ; le temps n'est pas un paramètre. Il le devient avec la volonté de connaître la certitude future. La question devient : qu'est-ce qui se passera réellement ? Quel événement parmi les événements s'accomplira ? La probabilité recherche laCertitude.Un grand chapitre de la mathématique est à modéliser. Cettecertitude de connaissance d'avenir renvoie par le truchement de l'interrogation, aux vérités prophétiques, à la voyance, à 2 l'intuition peut-être à la programmation divine, à la question de la grâce, à la dimension temporelle maîtrisée - présent, passé, futur.
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