)5$1&. /2=$& + JOURNAL1995 1 Janvier Propretéde la ville Les villes sont sales, et ce ne sont pas les employés municipaux, qui pourtant, accomplissent leur métier avec conscience et sérieux qui me contrediront. Les villes sont sales, - tout simplement, parce que des FHQWDLQHV GH PLOOLHUV G¶KRPPHV GH YRLWXUHV G¶DQLPDX[ SDVVHQW FKDTXH jour par le même endroit. -H UHJDUGDL LO \ D TXHOTXHV MRXUV WDQGLV TXH M¶pWDLV j %DGDORQD un balayeur qui ramassait les feuilles des arbres tombées. Il se penchait, faisait des petits tas, les assemblaient pour enfin les faire disparaître dans une poubelle. PouUTXRL Q¶D-t-LO SDV G¶DVSLUDWHXU? dis-je. Celui-ci permettrait G¶DVSLUHU OHV IHXLOOHV les mégots, les papiers et les saletés des chiens. Il y DXUDLW GRQF XQ WUDYDLO GH SUpFLVLRQ HW GH QHWWHWp TX¶LO Q¶HVW WRXMRXUV SRVVLEOH G¶REWHQLU DYHF OH EDODL ,O IDXGUDLW GRQF TXH OHV PXQLFLSDOLWpV V¶RFWURLHQW GHV DVSLUDWHXUV avec des charges autonomesG¶pOHFWULFLWp SHUPHWWDQW GH WUDYDLOOHU SHQGDQW TXDWUH KHXUHV ³ &HFL VHPEOH SRVVLEOH 0DLV SRXUTXRL GLV-MH SHUVRQQH Q¶\ D VRQJp DYDQW PRL " ´ 2 Traductionsde théâtre antique Le dernier jour du dernier moisVH PHXUW O¶DQQpH V¶pWHLQW doucement. Quel bilan littéraire puis-je exprimer ? Quelle analyse fidèle vais-je tenter avec ces quelques notes. Je doute hélas de la certitude de mes paroles. Non, je ne prétends pas me poser en juge impartial et proposer une véracité de critique.
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