Nadia

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Le carillon de la porte tinta, j'ouvris, c'etait Nadia ma belle soeur, elle m'embrassa sur les joues comme d'habitude, deux paires de bises d'ou se degageait une sensualit qui me mit aussitot en erection :"msal khir Farid" "Msalkhir Nadia..tu vas bien,?" Je vis qu'elle etait seule...nous sommes rests sur le pas de la porte nous regarder, ses yeux semblaient petiller, je lui pris la main et la tirai vers l'interieur,aussitot la porte ferme, elle se coula contre moi, son corps souple et chaud augmentat mon desir, je passai un bras autour de sa taille et passai mes doigts sur son merveilleux sourire! elle prit mon index dans la bouche et commena a le sucer, je posai mes levres sur les siennes mon doigt toujours dans sa bouche! ses seins se pressaient contre ma poitrine je descendis la fermeture eclair de sa robe mes doigts frolaient son dos,elle etait nue sous sa robe qui tomba a ses pieds, elle croisa ses bras sur sa sensuelle poitrine dans un doux geste de pudeur,souda sa bouche la mienne, plongeant son sensuel regard dans le mien, je sentais mon sexe raide comme une barre de fer palpiter contre son bas-ventre qu'elle frottaiton contre moi de faon impudique... je la couchai par terre a meme le carrelage, sa peau frissona au contact du sol je m'agenouillai a califourchon sur son bas- ventre, lui ensserai les seins et plongeai mon regard dans le sien. ..
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Publié par

Publié le

02 septembre 2012

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2 134

Langue

Français

 Le carillon de la porte tinta, j'ouvris, c'etait Nadia ma belle soeur, elle m'embrassa sur les joues comme d'habitude, deux paires de bises d'ou se degageait une sensualit qui me mit aussitot en erection :"msal khir Farid" "Msalkhir Nadia..tu vas bien,?" Je vis qu'elle etait seule...nous sommes rests sur le pas de la porte nous regarder, ses yeux semblaient petiller, je lui pris la main et la tirai vers l'interieur,aussitot la porte ferme, elle se coula contre moi, son corps souple et chaud augmentat mon desir, je passai un bras autour de sa taille et passai mes doigts sur son merveilleux sourire! elle prit mon index dans la bouche et commena a le sucer, je posai mes levres sur les siennes mon doigt toujours dans sa bouche! ses seins se pressaient contre ma poitrine je descendis la fermeture eclair de sa robe mes doigts frolaient son dos,elle etait nue sous sa robe qui tomba a ses pieds, elle croisa ses bras sur sa sensuelle poitrine dans un doux geste de pudeur,souda sa bouche la mienne, plongeant son sensuel regard dans le mien, je sentais mon sexe raide comme une barre de fer palpiter contre son basventre qu'elle frottaiton contre moi de faon impudique... je la couchai par terre a meme le carrelage, sa peau frissona au contact du sol je m'agenouillai a califourchon sur son bas ventre, lui ensserai les seins et plongeai mon regard dans le sien. ..elle ota ma chemise, defit ma braguette et me retira mon pantalon ensuite elle prit mon sexe a pleine main et avec une delicatesse et une sensualit sublime elle se mi a me masturber a travers le tissu de mon slip, le gland de mon sexe apparut sous l'lastique de mon slip tellement etait forte mon erection, elle me mit a poil, enfouit sa tete dans mon entre jambe et me fit une folle fellation...au bout d'un moment j'clatai dans sa bouche dans un flot de sperme chaud qu'elle avala avec delectation apres quoi elle remonta sur moi et colla ses levres encore humides de mon sperme aux miennes dans un torride baiser...elle se retourna sur le dos ecarta largement ses jambes m'offrant le magnifique spectacle de sa vulve rose et humide, ouverte...offerte! Je pris mon sexe a pleine main et me mit a frotter mon gland gonfl sur sa toison parfume, suivant le sillon des levres de son vagin d'ou coulait son liquide d 'amour, elle cambra sa taille comme pour s'empaler sur mon sexe en erection qui la pntra aussitot! le doux fourreau de son vagin semblait aspirer ma verge durcie par le dsir, je me mis a donner des coups de reins de plus en plus violents ce qui la faisait gmir et augmenter mon dsir d'elle "Ahhh! Nadia... amour de ma vie! niktek thabbel, ton sexe est si doux, si chaud!!!" Ses jambes entouraient mon bassin, mon sexe la pntrait lentement mais profondment, nous tions tous deux pres d'exploser, je poussai a fond mon sexe dans son intimit, nos bassins etaient comme souds, nos toisons se frottaient l'une a l'autre, nous nous arretames de bouger, je sentais un tourbillon de plaisir naitre dans mes entrailles, l'interieur du sexe de Nadia semblai aspirer mon gland...elle commenait a trembler, elle plaqua sa bouche contre la mienne et dans une douce et sensuelle plainte elle me murmura "Farid....mon amouur! je vais jouiir" ses mots j'explosai dans son intimit dans un jet de sperme brulant, son sexe enfermait ma verge puis dans une serie de spasmes, son ventre se contractait et se relachait elle jouit juste apres moi.....Je lui pris la main et l'aidai se relever, blottie contre moi je l'emmenai au salon l nous nous etalames sur le sofa, j'etais sur le dos, Nadia vint se coucher sur moi sa bouche a hauteur de ma poitrine, ses seins colls mon basventre ce qui me mit tout de suite en dbut d'rection, au contact doux de la poitrine de Nadia sur mon sexe une vague de dsir m'envahit, je plongeai mes doigst dans ses cheveux noirs coups assez court, elle plongea son doux regard dans le mien puis prit un de mes
tetons entre les levres et commena a me teter ahh! c'etait sublime, en meme temps elle frottait ses seins contre mon sexe durci apres quoi elle glissa encore plus bas, ses levres effleurerent ma toison puis prirent delicatement mon gland pour le sucer avec delectation, mes doigts toujours dans ses cheveux je plaquai sa tete dans mon entrecuisse...Sa bouche formait un etui chaud et doux a mon sexe en erection elle continua ainsi a me sucer jusqu' ce que je lui prenne le visage entre les mains et le ramener vers moi, je me mis a lui lecher amoureusement les levres encore chaudes de mon erection! Elle s'assit ensuite a califourchon sur ma virilit et commena a onduler doucement du bassin, frottant son entre cuisse sur ma verge gonfle de dsir... elle se releva un peu, prit mon sexe en frotta le gland chaud sur sa vulve humide puis se mit a s'empaler doucement jusqu'a complete penetration de mon sexe dans son ventre doux et chaud!! son bassin ondulait toujours mon sexe palpitait dans ce doux fourreau, je lui aggripai les deux seins et les malaxai suavement, elle gemissait de plaisir! Elle me chevauche avec de plus en plus d'ardeur et semble sur le point d'exploser apres un bref moment je la sentis se contracter, puis par saccades elle se laissa aller dans une sensuelle jouissance, son liquide chaud m'innonda le basventre, ce qui me fit exploser aussi dans un jet brulant de sperme tout au fond de son intimit, nos liquides se melerent pour couler dans un doux torrent sur nos basventres encores souds, Nadia, repue comme une chatte pleine d'amour, se coucha sur moi, ses seins contre les miens, ses bras entourant mon cou, mon sexe toujours lov dans ses entrailles, nous dormimes ainsi un long moment....  A notre rveil, Nadia etait toujours couche sur moi sa main referme sur mon sexe endormi mais qui, au contact de sa main douce, commena a se reveiller en une belle erection. Sentant quelque chose palpiter entre ses doigts Nadia se reveilla a son tour, me fit un sourire ravageur puis prit un de mes tetons dans sa bouche et commena a me teter comme un bb...mon petit bb...je plongeai mes doigts dans ses cheveux, fermai les yeux pour mieux m'enivrer de ces doux moments! Sa tete glissa sur mon ventre, ses doigts effleuraient avec douceur ma verge dure et mes bourses gonfles de dsir, je sentis son haleine chaude couvrir mon ventre puis ses levres s'enfermerent sur mon gland....c'etait d'une douceur indescriptible....  Le groupe sarrta aprs les longues heures de marche entre les pins, au milieu de quelques rochers de calcaires et de fougres assches. Le soleil tait au plus haut de la journe et la chaleur tait rude. Nous marchions comme cela depuis des semaines dans ces montagnes des Alpes, en croisant parfois un autre bataillon, en se frottant aussi lennemi dans des embuscades, en changeant quelques tirs. Nous ntions plus des hommes, mais un troupeau sans rires ni paroles. Fatigus, extnus dans ce plein t. Sans espoir. Nous ne savions plus o nous allions rellement et si cette foutue guerre finirait un jour. Nous nous tions arrts pour quelques heures. Le temps de manger et boire un peu, et surtout de dormir.  Les pins nous faisaient un large abri lombre et chaque soldat avait pos son paquetage ct de lui
pour se reposer pniblement. Je posais aussi mon sac et mon fusil qui pesaient de plus en plus lourd avec la fatigue. Javais lesprit ailleurs, les yeux dans le vague. Jen profitais tout de mme pour me lever et mloigner un peu de la section au repos. Les quelques pas sans le sac mapportaient une libert presque joyeuse. Je contournais des buissons pour me camper devant un rocher et ouvrir ma braguette. Je soulageais ma vessie en coutant les cigales et le rare souffle dans les arbres. Cette halte faisait des plus grands biens, seuls dans cette nature silencieuse et parfois hostile. Je ne voulais pas mloigner du bivouac et pourtant, je me laissais guider par mes pas, sur le sol mousseux et couvert daiguilles de pin sches, au gr de mes penses, entre les quelques rochers et les troncs darbres. Je ne savais pas depuis combien de temps javais quitt mes compagnons. Peuttre linstant, peuttre depuis de longues minutes dj. Je descendis une lgre pente, berc par quelques cris doiseaux et des bruissements de feuilles.  Japerus soudainement un lac derrire les buissons. Une petite tendue deau calme et transparente. Le soleil faisait miroiter la surface o se refltait la cime des arbres. Lendroit tait beau, pur, presque oubli. Je scrutais les abords, les berges tantt de rochers tantt dherbes ou de courts roseaux. On voyait le fond assez loin du bord. Je souris la vue de ce petit trou deau magnifique, comme sil reprsentait une image joyeuse. Je maccroupis pour troubler la surface de ma main et y tremper les doigts. La sensation du frais contre ma peau me fit encore sourire. Je me sentais respirer. Jtais heureux.  Bien sr, la premire ide qui me vint fut de my baigner. Je ne mtais pas lav depuis des jours, ou trs rapidement au bord dun torrent, avec les autres gars. Et je voulais my dtendre. Je ne savais pas sil me restait beaucoup de temps avant le dpart de la troupe, mais le temps semblait sarrter. Javais trs envie de me baigner. Jobservais encore une fois lentement autour de moi, comme pour massurer que lendroit ntait pas troubl, comme si je navais pas t tout fait sr, presque craintif. Puis je retirai mes lourdes bottes qui me comprimaient les pieds, et mes chaussettes uses. Une fois pieds nus, la satisfaction me gagnait, heureux de me sentir libre et sans contraintes.  Je dboutonnai ma veste que je portais mme mon maillot de corps dtremp par la sueur. Je dfis mon ceinturon presque brlant de soleil et de fatigue pour ensuite dboutonner mon pantalon trop lourd et rche. Je jetai mon maillot de corps pour retrouver torse nu inspirer par grandes bouffes lair qui paraissait plus pur. Je me sentais vivre, joyeux, tout chamboul de pouvoir enlever ces couches dhabits contraignants et peu adapts cette chaleur intense. Il me restait mon caleon long, comme une carapace de laine. Et jhsitais. Je scrutai encore le tour du lac, les arbres, le ciel, un peu anxieux, comme si javais peur dtre surpris, alors que tout tait calme. Et lentement, je baissai le seul habit qui me restait le long des hanches, puis des genoux, pour finalement en sortir les pieds et le poser sur mon uniforme.  Jtais nu.
 Je regardais tout mon corps, immobile, lentement, comme si je le dcouvrais pour la premire fois. Je me sentis frissonner, une boule au fond de la gorge et le ventre crisp. Toute ma peau tait dcouverte et offerte la caresse de lair et du soleil. Mes paumes taient moites. Jobservai mon scrotum qui se contractait et mon pnis qui faisait des soubresauts, lancinant, puis qui gonflait lentement pour se dresser. Jtais confus et javanai vers leau, avec ce dbut drection qui me faisait rire. Mes bourses se relchrent avec la chaleur, pour pendre entre mes cuisses et les frotter doucement chaque pas. Je rentrai dans leau, tout doucement, avec un sourire fig, presque niais, en maspergeant un peu le ventre et la poitrine. En remarquant que mon sexe se relchait, la tte en bas. Puis je me laissai tomber dlicatement dans londe frache. Ce fut un choc de sensations. Je retins ma respiration quelques secondes, sans mouvements, pour sentir la caresse voluptueuse de leau sur la peau, sur les muscles, sous les bras, entre les jambes. Je me mis nager, batifoler, fou de joie. Je dus mme rire pleine gorge ou crier audessus du lac. Ma verge se redressa au contact de leau et de mes mains qui effleuraient mon corps en nageant. En faisant la planche, je bombais volontairement les fesses pour sortir exagrment ce priscope, firement dress.  Puis je posai un pied sur un rocher, lautre bout du lac, avant de reprendre mes jeux aquatiques. Je regardais la surface se calmer aprs mon passage et le silence regagna le lieu. Je me tenais flchi, le buste hors de leau, une main agrippe aux roseaux.  Et soudain, je ne sus comment mais jentendis un bruit anormal, paniqu. Je mimmergeai rapidement jusquau cou pour observer.  L, je vis un homme qui savanait vers la rive. Il tait en uniforme aussi et arm dun fusil. Un soldat ! Il marchait lentement en regardant le lac. Je reconnus un Allemand ! Ma respiration tait bloque, la peur me tenaillait le ventre et mes yeux ne le quittaient pas. Tout coup, il aperut mes habits, sur la berge, en face de lui, et il prit son fusil deux mains, en changeant brusquement dattitude, en se campant sur ses jambes, lafft. Il parcourut tous les alentours du regard et je sentis au mme moment une rafale brlante me traverser le corps.  Mais il ny eut aucun son.  Il regardait dans ma direction en hurlant quelque chose dincomprhensible. Repr, je me levai de derrire les roseaux, leau dgoulinant sur ma peau. Il savana doucement, les yeux carquills, lair terrifiant.   Kom ! Kom ! Schnel ! !  Il pointait son fusil vers moi. Il ntait plus qu quelques mtres. Je tremblais de peur. Je mis un pied
sur le bord, pour mextraire de leau, ptrifi.  Une longue herbe verte tait reste colle sur ma cuisse. Ma verge tait encore bien droite, alors que je ne ressentais plus la mme sensation que tout lheure.  Il baissa son fusil et dirigea son canon vers mon ventre. Je remarquai quil esquissait un petit sourire et il me parla.   Ich bin Franzsich, ich nicht spreche Deutsch !  Jeus du mal sortir ces quelques sons de ma gorge noue. Il abaissa compltement son fusil et son attitude ntait plus la mme. Il tait dtendu, relch. Il paraissait confiant, en me souriant.  Il me parla encore mais je ne comprenais toujours rien. Puis il dfit ses bottes bien cires aprs avoir pos son arme. Il dboutonna son uniforme et me fit comprendre avec des gestes et quelques paroles que je pouvais retourner me baigner.  Je souris, rassur et me retournais dans leau.  Il passa sa chemise pardessus ses cheveux blonds et jetait le tout en boule. Il tait assez muscl et son torse bronz luisait au soleil. Il se dboutonna et se dshabilla compltement. Il resta un moment nu au bord de leau, stirer, le sourire aux lvres. Nous nous regardions sans changer de paroles. Je remarquai que son sexe grossissait en chancelant. Puis lAllemand senfona dans leau en nagea un crawl parfait.  Il maspergea en rigolant. Cela mamusait aussi.  Il me poussait sous leau et senfuyait rapidement. Nous tions deux gamins insouciants qui profitaient des plaisirs de leau sans penser tout ce qui nous opposait, toute lhorreur que nous avions vcue depuis quelques mois. Puis il sortit de leau en sappuyant sur le bord avec les mains. En se penchant en avant pour sortir, il tendit une jambe lextrieur et me fit voir ainsi ses bourses entre ses cuisses, bien malgr lui. Je le suivais et ressentis toujours cette joie dtre entirement nu dans leau.  Il sortit compltement et alla sallonger sur un rocher trs plat audessus de leau, en plein soleil. Il minvitait le rejoindre et je lui rpondis :   Jarrive !  Mais je me sentais incapable de sortir plus que le torse de leau, un peu honteux de cette rection qui me tenaillait le basventre. Je remarquais quil profitait du soleil, allong en se reposant sur ses coudes, une jambe replie et le sexe turgescent. Il en rigolait dailleurs et je compris quil minvitait sortir, sans me soucier de mon tat. Ce que je fis finalement, en marchant avec la verge tendue vers le haut et trs confus. Je massis ses cts en prenant soin de replier mes jambes et de serrer mes
cuisses. Nous en rigolions, en nous comprenant malgr la langue, en changeant aussi simplement des regards. Il devait mexpliquer que la guerre tait dure aussi pour lui. Quil nen pouvait plus ! Il nosait pas parler de notre rivalit, du tabou de ce combat abominable. Je compris aussi quil me demandait mon prnom.   Jean.   Ah, ja ! Zan , ditil en sesclaffant. Et en me montrant son torse avec son index, il me dit : Franz !
 Le soleil nous chauffait la peau et nous bavardions sans vritables paroles, mais comme des amis proches qui se retrouvent.  Nous navions plus peur de nos corps. La nudit ne nous gnait pas. Nous avions surmont lopposition de nos deux armes simplement en jouant et en se baignant. Le plus naturellement du monde. Et pourtant nous ne connaissions rien lun de lautre. Nous ne savions rien et pourtant nous tions bien, au soleil, dans cette nature sauge et dserte. Nous tions nus et seule la langue nous diffrenciait. Jtais assez brun et lui tait trs blond, avec des yeux clairs, presque remplis de larmes. Le temps nous avait oublis et nous tions dans un paradis. Dans notre paradis. A sourire.  Franz se tourna un peu sur le ct, toujours appuy sur un coude. Il porta sa main sur son torse comme pour se scher, en me regardant. Il avait toujours ce sourire dun blanc clatant, comme un enfant.  Il saisit sa verge dresse sans gne. Puis la caressa dlicatement. Nous changions des regards muets, trs intenses, avec une motion indicible. Je me sentais brlant, presque tremblotant la vue de son sexe rig. A la pointe de lnorme gland rouge et gonfl perlait une goutte transparente. Il referma sa main gauche sur son pnis et remonta la peau sur le haut. Et dun geste similaire, il retira trs loin en arrire, la limite de la douleur. Dune infinie lenteur, il imprimait une caresse rptitive qui me procurait une tension incroyable de plaisir. Puis son mouvement se fit plus rapide comme le souffle qui sortait de ses lvres. Je m'approchai de lui et mit mes doigts sur sa main qui montait et descendait le long de sa verge dure, il detacha ses doigts de son intimit ma main remplaa la sienne et je continuais une sensuelle masturbation qui semblait lui faire grand plaisir, Il se contracta brusquement, tendu au maximum et poussa un rle quand une premire goutte jaillit de son sexe allong. Il explosa en saccades sur le rocher et sur sa cuisse dans un bonheur infini. De longs jets blancs stendaient sur sa peau, sur la roche. Je posais ma joue sur sa cuisse et commenai a lecher le sperme encore chaud puis m'endormit a ses cots.  Je sentais cette chaleur inexplicable, presque une gne, dans un tat second. Je le regardais rcuprer doucement, ses paupires abaisses. Je me dplaai un peu sur le rocher pour lui tourner le dos et carter largement les jambes, en ouvrant mes cuisses sur mon membre durci, tendu craquer. Son gland poussa ma corolle qui s'entrouvrit petit a petit pour engloutir son sexe chaud et dur en entier... Je portais machinalement ma main mon sexe qui me faisait presque mal, en enveloppant la crte
vermillon de la paume, dans un soupir extatique. Je fis un mouvement lent vers le bas, jusqu la base, o je meffleurai le scrotum de lautre main. Puis je remontais brusquement le long de ma verge en gmissant. Au bout de quelques vaetvient frntiques et jouissifs, je sentis le dard mon compagnon me remplir le ventre d'une douce chaleur il etait gros et dur il semblait transpercer mon anus son sexe descendait et remontait entre mes fesses ce qui me fit me contracter intensment et me faire exploser dans un rle.  On etait couchs cote a cote, il respirait calmement et semblait dormir, ma main s'approcha doucement de sa cuisse, mes doigts effleurerent sa peau, je posai ma main sur sa cuisse et commenai a la deplacer vers son basventre, mes doigts rencontrerent ses bourses que je commenai a caresser doucement, sa verge se mit a gonfler doucement, je posai mes doigts sur le gland puis les fit descendre le long de la hampe qui etait presque raide, je l'entourai de mes doigts et les fit coulisser de bas en haut de la verge de mon ami, il bougea un peu en ecartant les cuisses, encourag je pris l'enorme sexe a pleine main et me mit a le masturber avec douceur, ma tete pose sur la poitrine de M., je pris un de ses tetons entre les levres et me mit a le teter je sentais son ventre se contracter, ma bouche glissa sur sa peau vers son basventre, sa verge frolait ma joue, je me mis a embrasser sa toison puis mes levres se refermerent sur cette magnifique hampe de chair chaude et dure, je pris ensuite le gros gland dans ma bouche ma langue l'entourait le lechait, mes levres l'enfermait comme un teton de biberon, ensuite M. poussa son bassin son sexe penetra ma bouche devenue un veritable vagin ouvert,il me retourna je sentis son enorme sexe cogner contre mes fesses , je relevai le genou permettant ainsi au sexe de M. de pousser ma corolle rose et palpitante qui aspira le gland d'un seul coup;Je poussais mon bassin chaque coup de reins de mon compagnon, je ne sentais plus mes membres, il jacula, se vidant dans mon ventre dans un torride flot de sperme brulant, j'etais pres de l'extase et j'jaculai mon tour dans de doux spasmes. il me semblait que Je flottais respirant peine, submerg de plaisir. En reprenant tout doucement mes esprits et en me redressant, je remarquais que Franz avait repass son uniforme et terminait denfiler ses bottes. Il passa son fusil en bandoulire et sans un mot me regarda longuement. Nous changemes un lger sourire rempli dune certaine tristesse, pour nous dire au revoir. Il tourna les talons et gravis le talus travers les branches et les buissons. Je le regardais sloigner en pensant quil fallait que je rejoigne mon unit et que peuttre nous serions amens nous revoir, mais en uniforme, chacun au bout de son fusil  Le soleil mavait bien chauff , je retournai dans leau.  Je fis des mouvements de brasse trs lents en sentant leau me caresser lentrecuisse exagrment ouvert sur une rection naissante. Je me retournais dans tous les sens, en mimmergeant totalement, en me caressant le corps. Je ne voulais plus quitter cet lment de volupt. Sous leau, je percevais mon corps nu et tendu. Aprs un moment de nage, je regagnai le bord pour poser les pieds sur le fond. Avec de leau jusquau torse. Je me regardais dans leau qui se calmait doucement. Ma verge tait encore tendue au maximum et instinctivement, je portai ma main autour pour me caresser. Leau favorisait aussi cette caresse. A force de vaetvient le long de mon sexe dur, jjaculai dans un petit cri en regardant les tranes blanches se rpandre dans leau.
 Je me schais, allong au soleil, sur le rocher, avant de repasser mes habits kaki et de rejoindre le groupe, la tte basse. Auteur
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