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LIVRE D'OR
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28 octobre 2014

Nombre de lectures

59

Langue

Français

ELISABETH HUBER
Salon du manuscrit
Française et professeur de Lettres. Établie à Genève en 1980, elle renonce à l’enseignement, exerce diverses fonctions dans les domaines bancaire et fiduciaire, puis se tourne vers l’écriture.
Siegfried Marco est détective privé. Au détour d’une banale filature, il se lie d’amitié avec les membres d’un petit club d’amis des bêtes et s’engage à retrouver le chien de Théo, disparu au soir d’une fête de quartier. Il est bien loin d’imaginer l’atroce dénouement du drame qui va se jouer autour de lui. Dans les coulisses de la vivisection et des trafics d’animaux, une atroce vengeance murie pour l’amour d’un chien.
LES YEUX D'ULYSSE
Joseph Une belle accroche, les personnages sont bien campés, je l'imprime et le lis puis je reviens vers vous. 7 juillet 2014 14:53
Béatrice Leloup Beaucoup de sensibilité et un sens aigu de la narration. je vote. 16 juillet 2014 16:09
Olivier Kawak J'aime beaucoup votre façon d'écrire et vos personnages. Je vote pour ce texte. Dur de lire les traitements infligés aux animaux, malheureusement ça ne doit pas être exagéré 11 août 2014 00:49
Benedicte Vidor Une tres belle entame, on "rentre " tout de suite dans le texte. Marco siegfried qui est noyé dans sa banalité avec une Ginette qui fait peur par sa bétise. 15 août, 19:34
Charlotte Bardon.... Que de violence . 15 août 2014, 19:55 ·
Isabelle Pierre-Durand TRES tres bien écrit. beaucoup de style. 15 août 2014, 19:56 ·
Charlotte Bardon Un tres beau texte au style fouillé. J'ai hâte de le voir en souscription."
Benedicte Vidor-Pierre Les sévices sur les animaux sont intolérables, j'ai eu du mal...mais c'est ça partager une émotion. J'ai été génée parfois par des expressions un peu téléphonées comme " la mer des habitudes " 18 août 2014 07:48
Yves Castilla 22 août 2014 11:25 Dur et magnifique.
Philippe Auge 2 septembre 2014 16:35 DECAPANT !!!!!!!!
« …Mais si je vous disais qu’elles ne sont pas en bois de peuplier mes créatures. Qu’elles existent vraiment. Que ce sont elles qui m’entraînent dans les escaliers, m’ouvrent les portes et m’obligent à les suivre dans les coulisses de leur vie. Étonnant, non ? Et oui, et oui Monsieur, elles peuvent bien s’entre déchirer et se dévorer, les malheureuses, je ne suis que le témoin démuni de leur stupidité, de leurs faiblesses et de leurs violences… » Chroniques amères des naufrages de nos vies ordinaires.
BOUILLON BRULANT
Houria Boumir J'ai hâte des manuscrits du vendredi. En attendant je conseille. C'est un vrai auteur qui vous attend. 9 septembre 2014 09:35 Claire Lengrand Des nouvelles bien ficelées, à l'écriture et au style élaborés, la longueur est suffisante pour nous tenir en haleine et nous laisser cois. Un véritable talent qui ne fait aucun doute, il est agréable de se plonger dans ces récits, la maîtrise est intacte. Chaque nouvelle est unique et nous plonge dans un univers différent 26 septembre 2014, 19:12 Beatrice Leloup Poignant en effet, Il manque peut être des changements de rythme pour que le lecteur puisse être "saisi". le texte est peut être un peu trop "beau" et pas assez "réaliste" 26 septembre 2014, 19:18 Benedicte Vidor Une série de petites nouvelles toujours aussi bien écrites par Elisabeth Huber. 26 septembre 2014, 19:19 Loic Duroy Un tres beau style tres travaillé. 26 septembre 2014, 19:20 · J’aime Claire Lengrand Vous parvenez avec brio à vous mettre dans la peau de ces personnages, à nous dépeindre leur petit monde parfois sournois, parfois banal, parfois sinistre... Certaines nouvelles relèvent du polar, certaines sont plus réalistes, vous adaptez votre style...Voir plus 26 septembre 2014, 19:24 Claire Lengrand Persistez ainsi Elisabeth vous êtes une véritable artiste, une bâtisseuse de mots, de phrases auditivement jouissives. Il est rare de lire des textes aussi finement construits, ce sont de mini chef d’œuvres. On ne peut pas plaire à tout le monde, mais ces nouvelles sont dignes de lecture.
« Je les maudis... Je ne m'apaiserai que lorsque sera né l'enfant qui me ressemblera...» Trois générations de Montandin du Cadet tragiquement emportées par le meurtre et la folie. Pourquoi ? Effet d'un plan implacablement calculé, soutient l’amie documentaliste, Bernadette Chanfrot. Pur hasard, s'entête Roland Marcier, jeune historien doctorant, alors que d'étranges phénomènes l'entraînent peu à peu avec sa compagne Birgit dans la tourmente de la malédiction. Meurtre et vengeance aux frontières de l’au-delà.
LES NOCES DE VENIN
Maude Pirrelet Super roman : une bonne connaisance de la bourgeoisie, une intrigue rondement menée, des personnages bien décrits et parfaitement crédibles, je me suis régalée. 24 octobre 2014 10:52
Pierre Coste Un roman percutant de Elisabeth Huber qui nous plonge dans un univers fantastique,où le style s'accorde parfaitement avec le récit. Ce livre nous conte l'histoire de Roland Marcier, historien doctorant et rationaliste chevronné, qui, à la suite d'une rencontre inattendue, va voir sa vie basculer dans le surnaturel.?20 h · Charlotte Bardon Rationalité/irrationnalité toujours partagé entre l'homme et la femme, l'un dépositaire de la raison, l'autre de la perception. Une histoire terriblement bourgeoise que l'auteure doit connaitre pour aussi bien décrire cet univers.? 24 octobre 2014 20 h · Maude Pirrelet Un style, un vrai style qui cherche sans cesse à aller au plus près de ses pers. et des descriptions.? 24 octobre 2014 19 h · Maude Pirrelet Par contre la fin est terriblement attendue.? 24 octobre 2014 19 h · Loic Duroy Un texte magnifique. Elisabeth huber est un écrivain, cela se sent. par contre je suis d'accord, la fin ne surprend pas du tout.? 24 octobre 2014 19 h ·
Pierre Coste Ce qui est dommage... Le style n'étant, selon moi, pas à retravailler. Mais au bout de la cinquantième page, je voyais où l'auteure voulait en venir. Même si, malgré cela, l'histoire reste haletante jusqu'à la fin.? 24 octobre 2014 19 h ·
Charlotte Bardon On retrouve une dichotomie bien classique l'homme rationnel et la femme plus "perceptive" . je trouve cela parfois un peu shématique , j'aurais apprécié l'inversion de ces stéréotypes....?
24 octobre 2014 19 h ·
Maude Pirrelet C'est vrai mais qu'importe, l'histoire ne se résume pas à cela.? 24 octobre 2014 19 h Pierre Coste Mais au-delà de l'histoire Elisabeth Huber s'interroge sur les fondations sur lesquelles notre monde repose.? 24 octobre 2014 19 h ·
Sur quel fondement nous plaçons nos valeurs et nos certitudes.? 24 octobre 2014 19 h ·
Toujours une écriture un peu "mauriacienne".... 24 octobre 2014 19 h ·
Pierre Coste Exactement ! Et que dire du style... le vocabulaire est recherché, les descriptions, parfois longues mais intéressantes, contribuent au développement du fantastique.? 24 octobre 2014 19 h · ?
Benedicte Vidor Je suis tout à fait d'accord avec pierre coste, je pense que l'auteure a abouti dans sa recherche stylistique et lexicale à quelque chose , par contre la trame narrative ne semble pas apporter le suspens que l'on attendrait. il y a beaucoup de qualité dans ce texte.... Je trouve juste la chute un peu trop prévisible.? 24 octobre 2014 19 h · Isabelle Pierre-Durand Un style tout à fait inimitable celui d'Elisabeth huber. Une intrigue que l'on retrouve dans une grande partie de sa prose.? 24 octobre 2014 19 h ·
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