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ACADÉMIE D’AIX-MARSEILLE
UNIVERSITÉ D’AVIGNON ET DES PAYS DE VAUCLUSE
THÈSE
SPÉCIALITÉ : Sciences de l’information et de la communication
ELE 7 ART AUX REGARDS DE L’ENFANCE :
LES MÉDIATIONS DANS LES DISPOSITIFS D’ÉDUCATION À
L’IMAGE CINÉMATOGRAPHIQUE
par Perrine Boutin
Thèse préparée sous la direction de :
Yves Jeanneret - Professeur, CELSA / Université Sorbonne-Paris 4
erSoutenue le mercredi 1 décembre 2010 devant un jury composé de :
Alain Bergala - Maître de conférences, Université Sorbonne Nouvelle-Paris 3
Emmanuel Ethis - Professeur, Université d’Avignon et des Pays de Vaucluse
Yves Jeanneret - Professeur, CELSA / Université Sorbonne-Paris 4
Emmanuël Souchier - Professeur, CELSA / Université Sorbonne-Paris 4
Guillaume Soulez - Maître de conférences habilité à diriger les recherches, Université
Sorbonne Nouvelle-Paris 3
tel-00556657, version 1 - 17 Jan 2011
tel-00556657, version 1 - 17 Jan 2011
École doctorale Culture et Patrimoine
École doctorale 483 Sciences Sociales,
Équipe Culture et Communication
Centre Norbert Elias - UMR 8562
Mémoire de thèse présenté en vue de l’obtention du grade de Docteur en Sciences de
l’Information et de la Communication de l’Université d’Avignon et des Pays de Vaucluse
tel-00556657, version 1 - 17 Jan 2011
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À Ahmad
tel-00556657, version 1 - 17 Jan 2011
tel-00556657, version 1 - 17 Jan 2011Remerciements
La liste des rencontres effectuées pendant la construction d’une thèse est très
longue. Comme le film d’Alain Resnais, Le Chant du Styrène, il faudrait remonter le
fil de ces six années - et bien au-delà - pour essayer de comprendre à qui est du cette
thèse, d’où elle vient. On finirait sans doute par « un mystère », qui ferait l’objet
d’une autre thèse… Je tiens tout de même à remercier toutes les personnes qui ont
contribué à ce travail quelle qu’en soit la manière ; travail éminemment collectif,
1même si mon seul nom figure en tête de ce document .
Je souhaite exprimer ma très grande reconnaissance à Yves Jeanneret pour la
finesse de sa maïeutique, sa capacité à comprendre la recherche de l’autre et
l’enthousiasme dont il fait part, sa clairvoyance à déceler l’essentiel et le mineur, son
habilité à dénouer les fils pour tirer le meilleur... Son amour pour la recherche et sa
discipline est contagieux et fut déterminant pour la construction de mon objet de
recherche.
Je tiens à remercier Christine Poncet, Luc vancheri, Jean Davallon, Daniel Jacobi
et Laurent Fleury qui ont tenu une place importante dans mon parcours intellectuel et
la confiance que j’ai essayée d’acquérir. Alain Bergala, Emmanuël Souchier,
Emmanuel Ethis et Guillaume Soulez m’ont fait l’honneur d’être présents dans le jury
de soutenance et je les en remercie très vivement.
Un grand merci à tous ceux qui ont supporté mes tergiversations, en
m’encourageant de leur affection : merci d’abord et avant tout à Aude Seurrat - pour
sa relecture très patiente, rigoureuse et toujours encourageante mais également pour le
2travail collaboratif fructueux de nombreux articles et communications -, mais aussi
Lila Belkacem - qui m’a offert de partager une fin d’écriture des plus agréables
possibles par un soutien inconditionnel -, Alexandra Garabige - surtout pour les fous-
rires salvateurs -, et tous les camarades de recherche qui ont déposé sur mon chemin
1 À la manière d’un film, nous oublions trop souvent le scénariste, le producteur, les acteurs, les
inspirateurs et toute l’équipe technique… pour ne retenir que l’auteur… Je vais d’ailleurs sans doute en
oublier. Qu’ils soient ici remercier...
2 Deux articles sont présents dans cette thèse, pp. 110-112 et pp. 170-174.
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tel-00556657, version 1 - 17 Jan 2011
un ou plusieurs cailloux que j’ai plus ou moins bien su ramasser : Olivier Aïm,
Caroline Archat, Annette Béguin-Verbrugge, Pierre Berthelot, Julia Bonaccorsi,
Francis Desbarats, Gustavo Gomez-Meija, Jean-François Guennoc, Bettina Henzler,
Anne Jarrigeon, Sarah Labelle, Joëlle Menrath, Thomas Stoll ; ainsi que toute
l’équipe des doctorants / jeunes docteurs d’Avignon : Michaël Bourgatte, Emilie
Flon, Camille Jutant, Céline Schall, Cécile Tardy… La dernière, mais non des
moindres, est Nathalie Montoya. Cette thèse lui doit énormément, non seulement
pour avoir tenté de me transmettre un savoir-faire de chercheuse hors-pair, mais
également pour m’avoir offert avec une immense générosité de monter aux plus
hautes cimes d’une pensée en acte, par une analyse fine et exigeante des pratiques de
médiation culturelle, accompagnée d’une insatiable curiosité. J’espère poursuivre nos
échanges amicaux, scientifiques et professionnels, aussi passionnants que
revigorants.
Je remercie chaleureusement tous les enseignants, les enfants, les médiateurs…
que j’ai rencontrés, et ce depuis mon enfance, qui font vivre quotidiennement la
médiation cinématographique de manière si enthousiasmante. Que ces voix
vivifiantes trouvent ici la marque de toute ma gratitude, notamment France Ambert.
Je salue toutes les personnes qui ont donné de leur temps pour s’entretenir ou
échanger sur un mode amical avec moi et ont grandement contribué à cette
recherche : Florian Delporte, Olivier Demay, Xavier Grizon, Laurent Pierronnet,
Nadège Roullet ou encore Frank Sescousse.
J’ai une dette considérable envers tous les professionnels qui m’ont accueillie dans
leurs structures. Par ordre chronologique d’introduction, je remercie : Gérard Lefèvre
et feu l’association UN CINEMA, DU COTE DES ENFANTS qui m’a permis d’élargir
considérablement mon terrain à travers les rencontres effectuées lors de festivals, de
3séminaires et de stages en lien avec l’UFFEJ notamment, qui m’a ouvert d’autres
voix encore, Braquage et tout l’équipe du SERVICE PEDAGOGIQUE DE LA CINEMATHEQUE
4
FRANÇAISE pour le stage que j’ai effectué, l’AFCAE et son Groupe jeune public qui
m’a permis de consulter leurs archives, les salariés des ENFANTS DE CINEMA qui
m’accordent depuis huit ans leur confiance pour d’innombrables actions faites grâce à
3 Union Française du Film pour l’Enfance et la Jeunesse
4 Association Française du Film d’Art & d’Essai
tel-00556657, version 1 - 17 Jan 2011eux, « les filles » d’ENFANCES AU CINEMA grâce à qui je me suis imprégnée
quotidiennement du « terrain », Jean-Pierre Daniel et son Alhambra, le Studio des
5Ursulines, les différents festivals qui m’ont accueillie, le personnel du CNC , les
salles de cinéma parisiennes que j’ai arpentées durant toutes ces matinées - merci à
tous les projectionnistes, artisans discrets du cinéma -, les écoles où je suis allées, les
musées, les instituts culturels étrangers…
J’ai envie de remercier également le personnel des bibliothèques qui m’ont reçue
6 7et le monde des usagers : la BPI - et ses fous -, la BNF - et ses fous de recherche -,
8 9la BIFI - et ses fous de cinéma -, celles de la Sorbonne, du CELSA, de l’EHESS , de
Sciences-po et toutes les petites bibliothèques improbables dans Paris comme la
Bibliothèque de recherches africaines… Toute ma gratitude va également à l’encontre
des hébergeurs qui m’ont permis d’écrire dans de bonnes conditions : Michèle et
du 12Dino Belkacem à Gagny, Lila et Stéphane au 6 , les colocataires chez Billy,
Viviane et Jean-François Torrès à Chabeuil, Christiane et Daniel Haute aux Veilles,
Antoine Vialle à la Villa Médicis et bien sûr ma famille à Pranté.
La finalisation de cette recherche n’aurait pas été possible sans Charlotte Lacroix,
Claire Collin, Catherine Fouquet que je remercie pour leurs relectures impitoyables,
et mes autres amis qui m’ont soutenue et entourée durant ces six années : Prune,
David et Emmet Brachet-Ciccodicola,