Maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC)

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Maladie pulmonaire
( )obstructive chronique MPOC
Rapport d’évaluation national
1 Remerciements
Le document Maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) : Rapport d’évaluation national a été
chapeauté par une équipe spéciale formée par l’Association pulmonaire du Canada, avec l’expertise
médicale de la Société canadienne de thoracologie (STC).
Les membres de cette équipe spéciale :
• V icki Bryanton, vice-présidente, MPOC, Association pulmonaire du Canada
• Luc Lapointe, directeur, affaires publiques, Association pulmonaire du Canada
• Mary-Pat Shaw, directrice, programmes nationaux, Association pulmonaire du Canada
• Alan MacFarlane, président du groupe de travail sur la MPOC
• K elly Ablog-Morrant, directrice des programmes et des services d’éducation en santé pulmonaire,
Association pulmonaire de la Colombie-Britannique
• Darrel Melvin, Professionnels canadiens en santé respiratoire (PCSR)
• Cindy Shcherban, vice-présidente, programmes spéciaux, Association pulmonaire de l’Ontario
• Linda Charette, directrice des programmes, Association pulmonaire du Québec
1• Dr Jean Bourbeau, Société canadienne de thoracologie
Le sondage réalisé pour Maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) : Rapport d’évaluation
national a été mené par la firme Léger Marketing, le seul organisme canadien représentatif de l’Association
internationale Gallup. Fondée en 1986, Léger Marketing est la plus importante firme de sondage
indépendante au Canada.
Les renseignements ...
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R r   Le document Maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) : Rapport d’évaluation national a été chapeauté par une équipe spéciale formée par l’Association pulmonaire du Canada, avec l’expertise médicale de la Société canadienne de thoracologie (STC). L  r    q p p  :  Vicki Bryanton, vice-présidente, MPOC, Association pulmonaire du Canada • Luc Lapointe, directeur, affaires publiques, Association pulmonaire du Canada • Mary-Pat Shaw, directrice, programmes nationaux, Association pulmonaire du Canada • Alan MacFarlane, président du groupe de travail sur la MPOC • Kelly Ablog-Morrant, directrice des programmes et des services d’éducation en santé pulmonaire, Association pulmonaire de la Colombie-Britannique • Darrel Melvin, Professionnels canadiens en santé respiratoire (PCSR) • Cindy Shcherban, vice-présidente, programmes spéciaux, Association pulmonaire de l’Ontario • Linda Charette, directrice des programmes, Association pulmonaire du Québec • Dr Jean Bourbeau, Société canadienne de thoracologie 1 Le sondage réalisé pour Maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) : Rapport d’évaluation national a été mené par la firme Léger Marketing, le seul organisme canadien représentatif de l’Association internationale Gallup. Fondée en 1986, Léger Marketing est la plus importante firme de sondage indépendante au Canada. Les renseignements contenus dans ce rapport sont destinés à la population. En cas d’utilisation, veuillez mentionner comme source Maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) : Rapport d’évaluation national, 2005. Pour plus de renseignements, visitez le www.poumon.ca. Maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) : Rapport d’évaluation national a été réalisé grâce aux subventions sans restriction de Boehringer Ingelheim Canada ltée et de Pfizer Canada Inc . 2 . M   Dans le cadre de cette étude, trois groupes distincts de population ont été ciblés. Un sondage téléphonique a été réalisé entre le 1 er septembre et le 7 octobre 2005 auprès de 2 568 adultes canadiens âgés de 18 ans et plus, de 252 médecins (dont entre autres 29 pneumologues) et de 130 patients souffrant de MPOC constitués d’échantillons randomisés représentatifs de chaque province et territoire 3 . P r   Ce rapport se penche sur divers aspects de la MPOC partout au pays en vue de tirer des conclusions importantes sur les soins de la MPOC au Canada. Il ne s’agit pas d’une recherche jugée par les pairs. Toutefois, l’Association pulmonaire du Canada espère que ces constatations et ces appels à l’action susciteront des discussions et des changements en matière de politiques en vue de mieux répondre aux besoins des Canadiens souffrant de la MPOC.
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SOMM iRe
Maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) : Rapport d’évaluation national est à ce jour l’étude de recherche la plau.s Àimportante et la plus étendue sruor ulevse nmt atlraodiis efsa cptuelumrso innaeirxeosr aobblsetsr uqcutii vperso cvhorqouneinqtu uesn  (MPOC) au Canad l’origine de cette enquête se t degré de pression croissant sur notre système de soins de santé :  Au Canada, des hommes et des femmes meurent de MPOC à un rythme effarant et le taux de mortalité ne cesse de croître. • De toutes les principales causes de décès, la MPOC constitue la seule maladie pour laquelle le taux de mortalité est en croissance. Le taux d’hospitalisation est également très élevé et continue d’augmenter. • Malgré cela, la sensibilisation à cette maladie, à ses symptômes et à ses facteurs de risque demeure faible en comparaison avec les autres grandes causes de mortalité, et ce, même auprès des personnes les plus à risque. L’objectif de ce rapport est de mettre en lumière les forces et les lacunes en matière de prévention et de maîtrise de la maladie et de faire en sorte que la maladie trouve sa place dans le cadre des programmes nationaux et provinciaux en soins de santé. Le sondage a été mené selon les critères suivants : • La MPOC en tant qu’enjeu et priorité dans le domaine de la santé • Sensibilisation et orientations auprès du public • Sensibilisation et orientations des médecins et utilisation des lignes directrices de la SCT • Accès à la spirométrie et utilisation de cet outil pour diagnostiquer la MPOC • Habitudes des médecins en matière d’ordonnances et accès aux médicaments pour la MPOC • Recommandations et utilisation des interventions non médicamenteuses. Pr    p                     r pp r Le rapport brosse le portrait d’une maladie dont la mortalité est un hausse phénoménale et qui est très peu connue. On y verra que plusieurs provinces et territoires ne maîtrisent pas la maladie dans le respect des normes largement acceptées. Ce rapport est un appel à l’action pour une meilleure connaissance et une meilleure gestion de la MPOC partout au pays. • Le classement des provinces démontre des déficiences évidentes dans la façon de contrôler la MPOC. • La majorité d’entre elles ont reçu la cote « D » ou moins, alors que trois provinces échouent. • La prévalence de la MPOC est nettement plus élevée que ce qui était perçu au départ. • Moins de la moitié des Canadiens (45 %) ont déjà entendu parler de la maladie pulmonaire obstructive chronique et seulement 17 % ont déjà entendu parler du terme MPOC. • À l’échelle nationale, l’accès au spiromètre par les médecins est élevé, mais son degré d’utilisation est faible et l’aisance à en interpréter les résultats est également très limitée. • Il existe des programmes de rééducation respiratoire offerts partout au pays, mais leur accessibilité est grandement limitée. • Les provinces ne se conforment pas entièrement aux lignes directrices de la Société canadienne de thoracologie en matière de MPOC en ce qui a trait à la médication. • Plus de la moitié des médecins (56 %) ont affirmé que leur gouvernement provincial ne fait pas de la MPOC une priorité en matière de soins de santé. • La plupart des provinces ne possèdent pas de stratégie formelle en matière de MPOC.
En conclusion : La MPOC doit faire partie des priorités des programmes national et provinciaux en matière de soins de santé.
4.tist Sta01/1sc0t/1ehlaht36.htm?sdi=leadieuqinaC  adaww :40w.ta.santca/.caidanaC .lloc te, J., aubeurBo,  ,.Pnrts.5E ta h20deses%0caung%2.6 3caL ,ada002 ueiqan Cta Sstti;y2 00.0htS ruevity Healn Communmidepi eofy ogoldnerT .Seht ni sGoldD., n R.steiY ,.saesko sB orTS/A99 1 78.O. étnerol ed sALA  1980-1995. PrésC PO DniC nada,aplupeném 1ol S0,J riv ,. .napseR3.
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Q   q  MPOC   La maladie pulmonaire obstructive chronique, communément appelée MPOC, empêche l’air d’entrer et de sortir librement des poumons. Les deux principales formes de MPOC sont la bronchite chronique et l’emphysème. La bronchite chronique est une inflammation des voies respiratoires des poumons. Cette inflammation produit un excès de mucus qui obstrue les voies respiratoires et fait en sorte que le patient tousse, crache et a de la difficulté à respirer. L’emphysème est la détérioration et la perte d’élasticité des tissus pulmonaires. La maladie provoque le développement de petites poches d’air dans les poumons où l’air reste emprisonné, ce qui fait en sorte que la personne qui en souffre doit continuellement lutter pour respirer. Les principaux symptômes des personnes aux prises avec la MPOC sont l’essoufflement et une limitation à effectuer des activités. Les symptômes sont habituellement insidieux au début, progressifs et caractérisés par des exacerbations fréquentes. La MPOC est principalement causée par le tabagisme, mais certaines preuves semblent indiquer que l’exposition à des polluants en milieu de travail et à la pollution de l’air ambiant peuvent aussi contribuer à son développement. i    MPOC Actuellement, la MPOC constitue, en importance, la quatrième cause de décès chez les Canadiens, derrière les maladies du cœur, les cancers et les maladies cardiovasculaires (qui incluent les accidents vasculaires cérébraux) 4 . Jusqu’à présent, au Canada, on estimait que 714 000 personnes étaient atteintes de la MPOC 5 . Des études démontrent qu’il y aurait plus de 50 % de personnes non diagnostiquées au sein de la collectivité 6 . Toutefois, les Recommandations pour la gestion de la maladie pulmonaire obstructive chronique (2003) de la Société canadienne de thoracologie indiquent que la MPOC est une maladie largement sous-déclarée et sous-diagnostiquée 7 . Pour le sondage réalisé pour ce rapport, on a demandé à 2 568 Canadiens et Canadiennes s’ils avaient déjà reçu un diagnostic de MPOC, de bronchite chronique ou d’emphysème. Au total, 8 % des répondants ont affirmé avoir reçu un tel diagnostic. Cette échantillon remarquablement vaste – ce qui surpasse largement la taille des échantillons habituels des sondages nationaux réalisés au Canada – fournit des renseignements qui sont statistiquement précis et représentatifs du Canada tant à l’échelle du pays que des provinces.
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il n n tion l
S MPOC C Dans l’ensemble, le manque de sensibilisation face à la MPOC constitue un point majeur au Canada. Moins de la moitié de tous les Canadiens (45 %) ont entendu parler de la maladie pulmonaire obstructive chronique et seulement 17 % ont entendu l’acronyme MPOC. Le tout est loin de se comparer avantageusement avec les autres maladies. Une autre étude faite par la firme Léger Marketing en 2005 révèle que le degré de connaissance de la maladie d’Alzheimer, du cancer du sein et du VIH/sida se situe entre 97 % et 99 %. Ce qui indique que le degré de connaissance de la MPOC est particulièrement faible.
99 %
C   r     C 
98 % 97 %
45 %
17 %
Cancer VIH/sida Maladie Maladie MPOC du sein d’Alzheimer pulmonaire obstructive chronique Sources : Maladie cardiaque, VIH/sida, cancer du sein et maladie d’Alzheimer – sondage Léger Marketing, sept. 005. n =  568
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C’est au Québec que le niveau de connaissance de la maladie pulmonaire obstructive chronique ou MPOC est le plus faible, avec un pourcentage de 24 %. Il est important de noter que la langue n’entre pas en cause dans ce cas puisqu’on a utilisé le terme « maladie pulmonaire obstructive chronique ou MPOC » avec tous les répondants francophones. Il pourrait s’agir d’une question de compréhension du terme MPOC, en comparaison avec l’utilisation des termes « bronchite chronique (83 %) et emphysème (87 %).
    p r r  r q  p r pr  C
58 % 59 % 60 % 53 % 56 % 54 % 49 % 50 % 46 %
24 %
45 %
C.-B. Alb. Sask. Man. Ont. Qc. N.-B. N.-É. Î.-P.-É T.-N.-L T.N.-O. Source : Sondage Léger Marketing, sept. 005. n =  568
5
il n n tion l
S p p r   La faible connaissance de la MPOC de la part du grand public dans ce pays pourrait aussi être attribuée au manque de couverture médiatique en comparaison avec celui dont bénéficient d’autres maladies d’importance. Entre janvier et septembre 2005, on a recensé 252 articles imprimés mentionnant la MPOC ou la maladie pulmonaire obstructive chronique. Toutefois, au cours de la même période, dans des médias comparables, il y eut bien davantage d’articles traitant de la maladie d’Alzheimer, du cancer du sein et du VIH/sida. Sans dénigrer l’intérêt médiatique des autres maladies, cela démontre clairement la sous-représentation de la MPOC dans les médias canadiens.
13 023
VIH/sida
Pr   q   r  
7 157
2 848
Cancer du sein Maladie d’Alzheimer
Source : Articles imprimés répertoriés dans Infomart (www.fpinfomart.ca), du 1 er janvier au 0 sept. 005
6
252 MPOC
iL n n tiOn L
t  La MPOC, surtout causée par le tabagisme, n’est pas uniquement une préoccupation croissante – il s’agit d’un enjeu crucial auquel sont confrontés maintenant les Canadiens. Selon Santé Canada, plus de la moitié de la population canadienne (57 %) fait présentement usage de tabac ou a déjà fumé . Les fumeurs actuels et les ex-fumeurs âgés de plus de 40 ans sont déjà à risque de développer une MPOC et les personnes âgées de plus de 55 ans dans ce groupe souffrent peut-être déjà de la maladie sans le savoir.
15 %
t   p r pr 
24 % 20 % 22 % 21 % 19 % 22 % 20 % 21 % 22 %
33 %
C.-B. Alb. Sask. Man. Ont. Qc. N.-B. N.-É. Î.-P.-É T.-N.-L T.N.-O. Sources : C.-B. à N.-É. – Santé Canada, 00; Territoires – Sondage Léger Marketing, sept. 005, n = 6
il n n tion l
Pr p p Selon ce sondage, plusieurs Canadiens continuent de croire que les personnes qui fument méritent les maladies dont elles souffrent, quelles qu’elles soient. Malgré cela, la plupart des Canadiens (96 %) estiment que les personnes souffrant de MPOC devraient avoir accès aux médicaments appropriés qui pourraient alléger leurs symptômes.
 L  r  MPOC  r  r    p q Total d’accord Plutôt d’ accord Fortement d’ accord 95 % 94 % 94 % 96 % 97 % 96 % 94 % 97 % 97 % 99 % 93 % 19 % 20 % 18 % 20 % 19 % 19 % 15 % 10 % 15 % 17 % 21 %
76 % 74 % 76 % 76 % 78 % 77 % 79 % 87 % 82 % 82 % 72 %
C.-B. Alb. Sask. Man. Ont. Qc. N.-B. N.-É. Î.-P.-É T.-N.-L T.N.-O. Source : Sondage Léger Marketing, sept. 005, n =  568
8
or mns femenanagc rh tfoo sbnocivetiuctrnamoul paesid yr002  es3. Can. Respir J,.v lo1 ,0s pulpenémA,t ai mui/j02 n.30
2 625
t p  MPOC p r 100 000 pr  , p r pr  (  55+
t p p r pr  Même si le nombre de fumeurs a diminué considérablement au Canada, le taux d’hospitalisation lié 8 à la MPOC ne cesse d’augmenter . Les exacerbations (augmentations aiguës des symptômes de la MPOC ou le développement de nouveaux symptômes) de la MPOC sont la cause la plus fréquente de visites médicales, d’hospitalisations et de décès chez les patients souffrant de la maladie. Jusqu’à 50 % de ces exacerbations sont causées par des virus, principalement le rhume. Les autres cas semblent être attribuables à des infections bactériennes.
iL n n tiOn L
1 589 856 960 935 1 216 1 142 990 1 119 555 632
C.-B. Alb. Sask. Man. Ont. Qc. N.-B. N.-É. Î.-P.-É T.-N.-L T.N -O. . Source : Institut canadien pour l’information sur la santé, 001.
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L MPOC pr       En plus de constituer une importante question de santé chez les hommes, la MPOC devient de plus en plus un problème de santé préoccupant chez les femmes. Un rapport publié par l’Institut canadien d’information sur la santé en 2001 indique que le taux d’hospitalisation chez les femmes atteintes de la MPOC sera en hausse marquée au cours des 15 prochaines années 9 .
euC tsqi.aL nadaalades mrespies eriotarinaC ua sep Sa.ad 2rembteé, Assoc la santluomanriaiitnop a,adan Sdue an CS ,aitatC étdanaI sn.9 dendinacat tutirus noitamrofni10
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