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pages
Français
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2019
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Publié par
Date de parution
01 janvier 2019
Nombre de lectures
110
EAN13
1230003025000
Langue
Français
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Date de parution
01 janvier 2019
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110
EAN13
1230003025000
Langue
Français
4 nouvelles érotiques
Mila Leduc
DILEMME
J'essayais tant bien que mal de joindre les deux bouts. Ma mère allait mal, très mal. Elle était en phase terminal de son cancer, et notre famille n'avait pas les moyens de lui prodiguer de meilleurs soins. Je travaillais durement comme employée de ménage en parallèle de mes études. Je ne sortais pas, je n'avais que très peu d'amis et toutes mes soirées se faisaient à l'hôpital près de ma mère.
Je ne voulais pas la voir mourir, je ne l'acceptais pas. Je devais absolument trouver une solution. Il le fallait. Mais comment ?
Je devais trouver un moyen de gagner plus d'argent. Je ne savais que faire. Je cherchais sans arrêt des petits boulots qui m'auraient permis de remplir un peu plus mes poches mais aucunes offres n'étaient intéressantes. L'état de ma mère empirait.
J'allais à l'hôpital, comme chaque jour, rendre visite à ma tendre mère. Ce jour-là, je vis qu'un banquier qui s'occupait des finances de l'hôpital était présent. Je me dirigeais donc vers l'accueil pour demander un rendez-vous avec ce dernier. Je devais trouver une solution à tout prix. La secrétaire me regarda de haut en bas, avec un air dédaigneux :
« Oui ? Je peux vous aider ?
Oui...J'aimerai prendre rendez-vous le plus vite possible avec le banquier de l'hôpital, répondis-je
Jack McLane ?
Je ne connais pas son nom...Ce doit être lui..
Oui. C'est bien lui. Il est très occupé. Il ne pourra pas vous recevoir avant deux mois. Rétorqua-t-elle froidement.
Je vous en prie, c'est pour ma mère...Elle est gravement malade, j'ai besoin d'aide ! Suppliai-je.
Mademoiselle, ici, tout le monde a ses problèmes. C'est dans deux mois ou rien.
S'il vous plaît... »
Je n'eus pas le temps de finir ma phrase qu'un homme d'une trentaine d'années fit son apparition. Sa carrure imposante, ses cheveux épais et bruns, son regard froid, et son sourire mesquin ne laissaient pas indifférent. Il prit soudainement la parole :
« Quel est le problème ?
Je...Je voudrais voir monsieur McLane...J'ai une requête...bégayai-je.
C'est moi. Et vous êtes ?
Mademoiselle Dana...
Elle veut de l'aide pour sa mère malade, mais je lui ai dis que c'était impossible monsieur ! S'exclama la secrétaireeen me coupant la parole.
Rendez-vous ce soir à 20h, au 21 rue Hampton. Ne soyez pas en retard mademoiselle Dana, lança-t-il. »
Je n'eus pas le temps de répondre, que le mystérieux monsieur McLane était déjà parti. La secrétaire me regarda et reprit ses activités. Je ne comprenais pas ce qu'il se passait. Je voyais peut-être enfin le bout du tunnel. Peut-être allait-il m'aider ? Il était si froid, si distant, si intriguant. Je me devais d'être à ce rendez-vous. Je ne devais pas laisser passer ma chance.
Les heures défilants, je dus quitter ma mère pour partir me préparer. Ce monsieur McLane semblait être un homme distingué. Je devais faire bonne impression, et mettre toutes les chances de mon côté. J'enfilais une jolie robe noire légère et décoltée. Si je pouvais jouer de mes charmes pour sauver ma mère, alors je le ferai ! J'attachais mes cheveux en un chignon décoiffé, laissant quelques mèches libres. Je mis mes plus jolies talons pour mettre en avant mes jambes galbées. Je me regardais devant le miroir. J'étais plutôt jolie. J'avais un rouge à lèvre carmin qui réhaussait la couleur blonde de mes cheveux, et un peu de mascara pour agrandir mes yeux bleus. Ma robe marquait mes hanches et mes fesses bombées. Le décolleté laissait apercevoir la naissance de ma petite poitrine, et mes cheveux attachés démarquait toute la sensualité de ma nuque. J'étais enfin prête.
Il était 19h30 lorsque je sortis de chez moi. Je cherchais en vain l'adresse et avait peur d'être en retard. Après de longues minutes, je trouvai enfin le lieu. C'était un hôtel. Un hôtel ? Cela me semblait étrange. M'étais-je trompée ? Je rentrais cependant dans l'hôtel, qui était un hôtel de luxe et attendit sagement dans le hall d'entrée. Il était 19h59. Monsieur McLane n'était toujours pas là. 20h00. Toujours pas de Monsieur McLane en vue. Je rongeais nerveusement mes ongles, et jouais de temps à autre avec mes cheveux. 20h01. Un homme entra dans l'hôtel. C'était Monsieur McLane. Plus il s'avançait et plus je me pétrifiais. J'étais impressionnée. Tant de prestance et de charisme. J'avais du mal à me concentrer et des idées peu catholiques me traversèrent l'esprit pendant quelques secondes.
« Bonsoir Dana, suivez moi. »
Je le suivis sans un mot. Il m'emmena au bar de l'hôtel.
« Deux margaritas, s'il vous plaît, demanda-t-il au barman. »
Il me regarda. Il me fixa de haut en bas. Il s'arrêta sur ma poitrine et eut un léger sourire. Et moi je le regardais avec incompréhension. Il entama la discussion :
« Alors Dana, que me vaut votre présence ?
Ma mère est gravement malade....Mais je n'ai pas les moyens de la faire transférer dans un meilleur service. J'aurai aimé savoir si c'était possible de m'arranger avec vous, de trouver une solution....Je suis désespérée.
C'est du courage dont vous faites preuve jeune fille. Je peux vous aider. Mais êtes-vous prête à tout ? »
Je réfléchis quelques instants avant de lui répondre :
« Je suis prête à tout Monsieur McLane.
Bien, finissons donc notre verre et montons dans ma suite. »
Nous finîmes notre verre et nous nous dirigeâmes vers sa suite. Elle était immense, avec une vue magnifique sur toute la ville. Je restais devant la porte d'entrée un peu gênée. Je n'osais pas rentrer. Il était encore temps de faire marche arrière.
« Rentrez donc Dana. Je ne vais pas vous faire de mal... A moins que vous ayez changer d'avis ?
Non ! Non ! Excusez-moi, j'admirais juste la beauté de la pièce.
Ou peut-être est-ce autre chose que vous admiriez ? »
Il s'approcha lentement de moi, et je pus sentir son souffle chaud et son parfum tendre. Il ferma la porte derrière moi et m'attira vers lui, un peu plus près. Il me regardait fixement. J'étais intidimée. Il commença à m'embrasser dans le cou. Surprise, je le laissais quand même faire. C'était agréable. C'était à la fois doux, chaud, humide et si bon. Cela faisait longtemps qu'un homme ne m'avait pas touchée. Et même si les conditions semblaient étranges, je voulais profiter. Jack McLane était après un tout un très bel homme. Ses yeux noirs et si profonds m'ensorcelaient. Ses bras forts et musclés soulevèrent ma robe à hauteur de mes fesses, et entreprirent de les caresser. Il passa son doigt dans ma culotte, et titilla mon clitoris. Il s'arrêta soudainement, me laissant haletante et rouge de désir.
Il s'asseya sur le lit, et enleva son pantalon.
« Tu dois d'abord t'occuper de moi, et après tu recevras la meilleure baise de ta vie » lança-t-il.
Je retirai ma robe et mes talons. Il put alors voir mes sous-vêtements rouges. Je portais un string à dentelles et un soutient-gorge assorti. Je m'avançai vers lui. J'entrepris de lui retirer sa chemise et son caleçon. Il était là nu devant moi. Sa verge était grande et belle. Elle ne demandait qu'à être prise en mains.
Je commençais par l'embrasser, de haut en bas et de bas en haut. J'arrêtai quelques secondes et le regardai dans les yeux avec envie. Je me remis près de son sexe, et commençais à le lécher. Je jouais avec son gland et de ma main libre je lui caressais les testicules. Mes vas et viens se firent de plus en plus rapides. Moniseur McLane tenait ma tête entre ses mains et la releva subitement. Il me poussa sur le lit, se mit au dessus de moi.
Il détacha mes cheveux, et m'embrassa langoureusement, et en même temps il jouait avec mon clitoris. Il le massait lentement, et petit à petit je devenais de plus en plus humide.
« Tu es excitée à ce que vois...Mérites-tu plus ? »
Je hochai la tête en signe de réponse positive. Il descendit alors, et embrassa le début de mon entrejambe. Je sentis alors un coup de langue, puis un autre. J'étais de plus en plus excitée, je le voulais maintenant, de suite. Jack releva la tête et me sourit. Il s'arrêta brusquement et se releva. Il me regardais là, les jambes écartées et le sexe rouge de désir. Il fit le tour du lit, et vint me sussurrer quelques mots :
« Je ne te pense pas méritante. Prouve moi que tu me mérites. »
Je me levais à mon tour, et me mis à genoux. J'entrepris à nouveau de prendre son sexe dans ma bouche. Je le léchais, le suçait, jouait avec son gland et essayais de lui toute l'attention qu'il voulait recevoir. Monsieur McLane commençait à gémir. De mes deux mains je tenais ses fesses et les caressait doucement. Je sortis son sexe de ma bouche et demanda à Jack de s'allonger sur le lit. Là, je pris sa verge entre mes seins et le massai avec ces derniers. Le sexe de Monsieur McLane devenait dur et rouge. Cette vue me rendait folle. Je le voulais en moi, je le voulais tout simplement. En même temps que je le branlais avec mes seins, de ma main libre je touchais mon clitoris.
Il me prit alors et me retourna, là il prit son sexe et avec celui-ci caressait l'entrée de mon vagin. Il faisait des petits tours, et je pouvais sentir son gland. Cela me rendait folle de désir. Il continua de me masser avec son pénis.
« Venez en moi, je vous en supplie...demandais-je haletante. »
Il entra le début de son sexe en moi, et le sortit aussi tôt. Il me faisait languir, j'allais exploser. De ses doigts, il joua avec mon sexe, et inséra un doigt, puis deux, et en même temps il embrassait tendrement le bas de mon dos et la naissance de mes fesses. Puis sans prévenir, il me pénétra. C'était si bon, si doux, si fort et si chaud. Ses coups de reins étaient réguliers, profonds et intenses. Mon corps tout entier tremblait.
« Donnez moi une fessée...
Le mot ma