Sauter le pas , livre ebook

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Jez Fielding et James MacKenzie – Big Mac pour ses amis – sont dans leur deuxième année d’université. Après avoir trop fait la fête l’année précédente, ils font un pacte afin de se ressaisir. Alors que leurs colocataires sortent pour boire chaque weekend, Jez et Mac restent à la maison pour économiser de l’argent et se concentrer sur leurs études.


Lorsque Jez suggère de regarder un porno ensemble, il ne s’attend pas à ce que Mac accepte. Une chose en amenant une autre, leur arrangement inclut rapidement des jeux de mains. Mais tomber amoureux de son ami « hétéro » ne peut que mal se terminer, à moins qu’il y ait une chance qu’il ressente la même chose.

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Nombre de lectures

79

EAN13

9782376767008

Langue

Français

Publié par JUNO PUBLISHING 2, rue Blanche alouette, 95550 Bessancourt Tel : 01 39 60 70 94 Siret : 819 154 378 00015 Catégorie juridique 9220 Association déclarée http://juno-publishing.com/ Sauter le pas Copyright de l’édition française © 2020 Juno Publishing Copyright de l’édition anglaise © 2015 Jay Northcote Titre original : Helping hand © 2015 Jay Northcote Traduit de l’anglais par M.O.R, Melody Nelson Relecture et correction par Valérie Dubar, Jade Baiser, Miss Joly Lucha. Conception graphique : © Garrett Leigh Couverture française : © Francessca Webster
Tout droit réservé. Aucune partie de ce livre, que ce soit sur l’ebook ou le papier, ne peut être reproduite ou transférée d’aucune façon que ce soit ni par aucun moyen, électronique ou physique sans la permission écrite de l’éditeur, sauf dans les endroits où la loi le permet. Cela inclut les photocopies, les enregistrements et tout système de stockage et de retrait d’information. Pour demander une autorisation, et pour toute autre demande d’information, merci de contacter Juno Publishing : http://juno-publishing.com/
ISBN : 978-2-37676-700-8 Première édition française : août 2016 Deuxième édition française : janvier 2020 Première édition : juin 2015 Édité en France métropolitaine
Table des matières Avertissements
Dédicace
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7
Chapitre 8
Chapitre 9
Chapitre 10
Chapitre 11
Chapitre 12
Chapitre 13
Chapitre 14
Chapitre 15
Chapitre 16
Chapitre 17
À propos de l’Auteur
Résumé
Avertissements Ceci est une œuvre de fiction. Les noms, les person nages, les lieux et les faits décrits ne sont que le produit de l’imagination de l’auteur , ou utilisés de façon fictive. Toute ressemblance avec des personnes ayant réellement ex istées, vivantes ou décédées, des établissements commerciaux ou des événements ou des lieux ne serait que le fruit d’une coïncidence.
Ce livre contient des scènes sexuellement explicite s et homoérotiques, une relation MM et un langage adulte, ce qui peut être considéré co mme offensant pour certains lecteurs. Il est destiné à la vente et au divertiss ement pour des adultes seulement, tels que définis par la loi du pays dans lequel vous ave z effectué votre achat. Merci de stocker vos fichiers dans un endroit où ils ne sero nt pas accessibles à des mineurs.
Dépicace
Pour Justyna.
Merci our le soutien.
Cette histoire n’aurait robablement jamais vu la l umière pu jour si je n’avais as eu ton aipe. .
Sauter le pas Colocataires #1
Jay Northcote
Chapitre 1 Jez fit défiler les chaines de la télévision tout e n mâchant la pizza légèrement détrempée et un peu fade qu’il avait achetée en pro motion au supermarché. — Pour l'amour de Dieu, il te suffit de choisir que lque chose et de rester dessus. Tu me rends fou, grommela Mac – alias James MacKenzie, alias Big Mac pour les intimes – de la table de la salle à manger, où il avait éta lé devant lui ses livres et ses notes pour son devoir. Ils suivaient le même cours – géographie – et Jez a vait déjà terminé et rendu le sien en avance, mais Mac n’en était qu’à la moitié. — Tu pourrais travailler dans ta chambre, tête de n œud, ou aller à la bibliothèque, si tu veux la paix et la tranquillité, rétorqua Jez , mais son ton était doux.
— Je préfère le faire ici. Travailler un samedi soi r, c’est déjà assez triste, sans avoir à me retrouver tout seul en plus.
Jez s’arrêta surLes Simpsonet posa la télécommande sur le côté. La porte du salon s’ouvrit et Shawn passa sa tête b londe. — Mike et moi allons bientôt sortir. Vous êtes cert ain de ne pas vouloir nous retrouver plus tard ? Nous irons en boîte après le pub. Il y aura beaucoup d’étudiantes de première année dehors ce soir ; ce seront des pr oies faciles. Toutes ces filles sorties des bras de leurs parents seront prêtes à g oûter à la liberté – et par « liberté », je parle de ma queue.
Jez leva les yeux au ciel.
— Dans tes rêves, Shawny. Et non. Je suis fauché, t u te souviens ? Donc, à moins que tu veuilles payer toutes mes boissons ce soir, cela ne va pas arriver.
— Et toi, Big Mac ?
Mac fit courir sa main dans ses courts cheveux fonc és sans relever les yeux de son ordinateur portable. — Nan. J’ai ce devoir sur les systèmes fluviaux à rendre pour mardi. — Oh… allez ! C’est samedi soir. Cela ne peut pas a ttendre jusqu’à demain ?
Mac crispa sa mâchoire et rougit tout en secouant l a tête, regardant ses notes et les papiers qui traînaient autour de lui.
— Non. — Mais… — Laisse-le tranquille, Shawn, intervint Jez, une p ointe d’acier dans la voix en guise d’avertissement. Je suis certain que Mike et toi pourrez vous en sortir sans nous.
Jez, Mac, Shawn et Mike vivaient dans le même coulo ir l’année dernière et avaient rapidement gravité les uns autour des autres, puis commencé à traîner ensemble. Au début de l’année, ils étaient tous beaucoup sortis, visitant tous les pubs populaires pour étudiants et les boîtes de Plymouth, mais Mike et S hawn n’avaient pas été tout à fait aussi fous que Jez et Mac, qui avaient continué à f aire la fête jusqu’à l’été. À la fin de leur première année, Jez avait accumulé un énorme d écouvert et ses parents avaient catégoriquement refusé de le renflouer, même s’ils auraient facilement pu se le
erinsi que dans plusieurs devoirs,mettre. Mac avait pris du retard dans ses études, a et avait failli être recalé aux examens de fin d’an née. Alors maintenant, au début de leur seconde année, Jez et Mac avaient décidé de ralenti r sur les fêtes et Jez n’allait pas rester là à regarder Shawn faire passer un mauvais quart d’heure à Mac à ce sujet.
Shawn croisa le regard de Jez et décida manifesteme nt que cela ne valait pas une dispute.
Il se contenta de hausser les épaules et dit avec u n sourire :
— D’accord. Peu importe. À plus, les losers.
— Amusez-vous bien, ajouta Jez.
— Oh, nous en avons l’intention.
Shawn claqua la porte derrière lui.
— Merci, dit Mac, ses yeux bruns sérieux fixés sur Jez. — De rien. Jez termina sa pizza, puis s’installa plus conforta blement sur le canapé, couché sur le côté avec sa tête posée sur un coussin. Il p ouvait entendre le tapotement des doigts de Mac sur le clavier de son ordinateur, l’o ccasionnel raclement d’un stylo et le froissement de papiers tandis qu’il travaillait. Ma is cela ne le dérangeait pas. Comme l’avait dit Mac, c’était un peu triste d’être coinc é ici un samedi soir, donc il était content de la compagnie de Mac. Ils avaient une relation ag réable – une solide amitié basée sur le fait d’avoir passé beaucoup de temps l’un av ec l’autre au cours de l’année écoulée.
La maison dans laquelle ils vivaient était une gran de location avec six chambres. Les soirs de semaine, ils étaient toujours plusieur s ici, à traîner dans la salle de séjour ou à se mettre sur le chemin de l’autre dans la cui sine. Mais ce soir, Jez et Mac étaient les seuls qui étaient restés. Dani, la seule fille qui vivait avec eux était partie ce weekend pour rendre visite à son petit ami et Josh, le cinquième garçon de la maison, sortait pratiquement tous les vendredis et samedis. Il avait tendance à faire ses propres trucs plutôt que de socialiser avec le reste d’entre eux le weekend. Josh était gay, donc ses lieux de « villégiatures » étaient différents d es leurs.
Environ une heure plus tard, Mac referma finalement son ordinateur. — C’est bon. J’en ai terminé pour ce soir. J’ai bes oin d’un verre. Jez le regarda, tandis que Mac se levait et s’étira it, son dos craquant alors qu’il levait les bras au-dessus sa tête et cambrait son d os. Son tee-shirt remonta pour montrer des abdominaux enviables et une ligne de po ils foncés qui descendait sous son jean. — Il n’est que vingt et une heures, intervint Jez. Vas-tu sortir après tout ? Une pointe de déception effleura les bords de sa co nscience. Ce serait vraiment pénible d’être le seul à se retrouver coincé ici un samedi soir.
— Nan. Je n’en ai pas la force. Et Lucy est probabl ement sortie, elle m’en veut toujours d’avoir rompu avec elle. Je peux me passer de son agressivité. J’ai quelques bières dans le réfrigérateur. Tu en veux une ? — Je ne serai pas capable de te la rembourser, pas avant un bon moment en tout cas. Jez s’était trouvé un travail à temps partiel – que lques heures dans un café local –, mais chaque penny qu’il gagnait servait à rembourse r ses dettes. — C’est bon. Ce n’est que de la bière bon marché et j’ai aidé mon père pendant
l’été. Le père de Mac travaillait dans le bâtiment et il v ersait à son fils un salaire décent lorsqu’il l’aidait.
— D’accord, alors. Merci !
Mac revint une minute plus tard avec un pack de qua tre bières.
— Bouge ton cul, dit-il. — Tu sais qu’il y a un autre canapé, non ? — Oui, mais celui-ci offre une meilleure vue sur la télévision.
Jez souleva ses jambes avec réticence, se retourna et les posa sur la table basse afin de laisser de la place pour Mac dans l’autre c oin du large canapé à trois places.
— C’est mieux que de payer de la bière hors de prix dans un pub bondé de toute façon, reprit Mac. Je le pensais lorsque j’ai dit q ue j’allais arrêter de sortir chaque weekend cette année. — Ah oui ? Jez n’avait pas été certain que Mac s’en tiendrait à son plan. Pour lui-même, c’était une nécessité. Il ne pouvait tout simplement pas se permettre de continuer comme il l’avait fait l’année précédente.
— C’est ma dernière chance.
La voix de Mac était sérieuse. — Mon tuteur m’a appelé pour me rencontrer, le prem ier jour de la rentrée. Si je rate cette année, je serai viré. — Merde ! Vraiment ?
Jez n’avait pas réalisé que c’était aussi mauvais.
— Oui. Et je ne suis pas une de ces personnes qui p euvent pondre un devoir en une soirée et tout de même obtenir une bonne note. Je dois y passer du temps.
Jez rougit, se sentant coupable, parce qu’ilétaitune de ces personnes.
— Alors, continua Mac, j’ai décidé que cette fois, je n’allais pas beaucoup sortir. Je me concentre sur mon travail, et la détente n’impli quera pas de courtes nuits et des gueules de bois qui me feront manquer des cours. Qu elques bières en face de la télévision seront ma limite. Ce sera difficile de m ’y tenir, mais je veux essayer.
— Faisons un pacte, proposa Jez. Nous le ferons tou s les deux. Entre maintenant et Noël, nous ne sortirons pas pour aller boire cha que weekend pour le simple plaisir de le faire, seulement lors d’occasions spéciales – co mme les anniversaires ou des trucs comme ça. Ce sera plus facile si nous le faisons to us les deux.
— La sécurité par le nombre ? dit Mac en souriant.
— Quelque chose comme ça. Nous pouvons nous aider m utuellement à rester forts lorsque Shawn et Mike nous harcèleront.
— D’accord, marché conclu.
Mac leva sa cannette et Jez trinqua avec la sienne.
— Marché conclu.
Ils restèrent assis dans un silence agréable pendan t un certain temps, finissant leurs boissons tout en regardant la télévision, ava nt d’en ouvrir une seconde. — Alors, comment en es-tu venu à rompre avec Lucy ? demanda Jez. J’avais
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