Pensées d'un autre Monde , livre ebook

Pensées d’un autre monde
 
 
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CHRISTIANE MERCIER
Pensées d’un autre monde


 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
À toutes celles et ceux
Qui m’ont sincèrement aidée
Sur un très difficile chemin de vie
 
À toutes celles et ceux
Qui cherchent un sens à leur vie
Et que je souhaite vraiment aider par ces écrits
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
On obtient tout par un sourire
 
On désarme par la douceur
 
On séduit souvent par le rire
 
Mais on persuade avec son cœur
 
 
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On écrit
              Quelquefois
                                                 Mais pourquoi ?
 
 
 
 
 
On écrit dans la peine… On écrit dans la joie
Un jour parce qu’on aime… Un jour parce qu’on croit
 
 
Dans le moment extrême ou dans l’intensément
Au cœur de la bohème ou d’un emportement
 
 
On écrit par-delà tout ce qu’on a vécu
Quand message il y a ou que l’on n’en peut plus
 
 
On écrit quand l’Amour vous submerge le cœur
Qu’on rêve d’un « toujours » Qu’on rêve d’un « ailleurs »
 
 
Alors se précipite tout ce qu’on voudrait dire
Et c’est la page écrite qui vous fera sourire
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Commençons donc par le début                                   
Et pourquoi pas
par la Genèse
 
 
 
 
 
Au tout commencement Il créa « Ciel » et « Terre »
Mais la Terre était vide et triste sans lumière
Alors Il décida « Que la lumière soit »
« Et la lumière fut » et le « Jour » naquit là
Et il y eut un soir… il y eut un matin
Car Il avait voulu créer avec sa main
 
 
Et dès le lendemain Il continua son œuvre
Et voulut séparer sur cette Terre neuve
« Les eaux d’avec les eaux » en créant firmament
« Empyrée » pour certains ou bien « Ciel » maintenant
Et il y eut un soir… il y eut un matin
Car Il avait voulu façonner de sa main
 
 
Mais le troisième jour lui vint une autre idée
Il rassembla les « eaux » tout à coup apaisées
Faisant surgir ainsi notre continent « Terre »
Où verdure… arbres… fruits… portaient graines premières
Et il y eut un soir… il y eut un matin
Où Il avait voulu reproduire en sa main
 
 
 
 
 
 
 
Le quatrième jour Il créa « luminaires »
Au firmament du Ciel pour éclairer la Terre
Un grand pour notre jour… un petit pour la nuit
Et tous ces points brillants… ces étoiles qui luisent
Et il y eut un soir… il y eut un matin
Où Il avait voulu des astres de sa main
 
 
Lors du cinquième jour… joyeux… sans aucun stress
Il voulut que les eaux « grouillent » de mille espèces
Et que dans firmament des oiseaux… « gent ailée »
Croissent …se multiplient …suivant sa volonté
Et il y eut un soir… il y eut un matin
Où Il avait voulu animer de sa main
 

Sixième et dernier jour de création sur Terre
Les « Bêtes » apparurent et l’Homme solitaire
Il leur dicta ses lois et ses commandements
L’Homme sur l’animal prenant le pas céans
Mais Il ne voulait pas de l’homme solitaire
Aussi Il préleva un peu d’os et de chair
Et de ses mains naquit l’Eve complémentaire
Qui devait lui donner enfants sur cette Terre
Et il y eut un soir… il y eut un matin
Où Il avait voulu créer l’Homme en ses mains
 

Septième et dernier jour de création sur Terre
Il contempla son œuvre et Il dut être fier
Car partant du néant… Il avait tout créé
En se mettant « debout » on lui rendrait « fierté »
 
 
 
 
 

 
 
 
 
 
Ici et maintenant
Nous sommes en attente
Mais de quoi ?
 
 
 
Le monde est en attente… Le monde est en réveil
C’est la révolution… On sort d’un grand sommeil
Le peuple en a assez qu’on se moque de lui
Et cette « vache à lait » elle va faire bruit
 
Depuis bien des années la pauvreté s’accroît
L’écart va grandissant et l’on vote des lois
Au profit d’exploiteurs qui n’ont vraiment compris
Que l’on va vers un clash mené par les « petits »
 
Les suicides font rage en beaucoup d’entreprises
On est en « mutation » … Cessez de dire « crise »
On ne peut plus cacher toute la corruption
Qui remonte en surface grâce à l’information
 
Beaucoup en ont « conscience » et veulent autre chose
Dignité et respect… C’est la nouvelle gnose
La peur… la division… C’est de la politique
Pour bien manipuler… Une vieille technique
 
Mais en cheval de Troie une « conscience humaine »
Va faire basculer vers un autre domaine
Car « science sans conscience n’est que ruine de l’âme »
Ce jour on est au cœur de ce vaste programme !
 
 
 
 
Car malgré ces écrits de 1990
La situation s’est encore aggravée
 
Il faudra écouter enfin ces cris du cœur
Ces appels « Au secours » de l’Homme qui se meurt
Il est vraiment urgent de prôner ces valeurs
Qui sauveraient la vie de ces jeunes « casseurs »
 
On ne peut rester là impassible et serein
Devant cette détresse incomprise en chacun
On ne peut rester là égoïste et repu
Devant ces malheureux qui « hurlent » dans les rues
 
Car si l’on ne fait rien ce sera l’escalade
Ce sera toujours plus… fini la dérobade
Eux ils n’ont rien à perdre… ni rêve ni espoir
Un « ghetto » peint en rose il reste toujours « noir » !
 
Messieurs les gouvernants je sais ça vous dépasse
« Tant va la cruche à l’eau qu’un jour elle se casse »
Cessez donc maintenant de jouer à l’autruche
Vous devrez faire face à toutes les embûches
 
Car ces dossiers ouverts par ces « non intégrés »
Oui vous aurez beau faire il faudra les régler
Ces problèmes de fond que vous aimiez noyer
Nécessaire aujourd’hui de vous y « atteler »
 
Tout est à repenser… Ces structures désuètes
Et cette « éducation » qui marche sur la tête
Allez-vous donc enfin devenir des adultes
Et cesser de plier dès qu’un peu de tumulte
Au sein des syndicats vous fait craindre le pire
Et que vous avez peur quand ils sont en délire
On ne gouverne pas « la tête en plein désordre »
Il faut vous ressaisir… C’est un cri… C’est un Ordre !
 
 
 
Vous êtes dépassés mais écoutez donc l’autre
Entendre son prochain est un devoir d’« Apôtre »
Et vous devriez l’être en « figure de proue »
Quand on s’engage on doit continuer jusqu’au bout
 
Le pouvoir est flatteur mais n’oubliez jamais
Que titres et fonctions doivent être liés
Et qu’accepter un poste entraîne des « devoirs »
On apprenait cela autrefois en Histoire
 
Vous les avez « parqués » comme des bêtes immondes
Dans des « cités dortoirs »… à cela ils répondent
Inévitablement l’Homme un jour réagit
Lorsqu’au bout du couloir il ne voit que la nuit
 
Où est l’égalité… vous tirez sur la corde
Cette école est « stupide » elle sème discorde
Et ne fait qu’aggraver les écarts de naissance
Cautionner tout cela est terrible indécence
 
Et vous pensez pallier avec quelques milliards
Gagner un peu de temps occultant les retards
Difficile de taire en son for intérieur
La révolte qui gronde en ceux qui ont du cœur
 
Qui croyez-vous leurrer avec ce « sale argent »
Qui est parfois acquis au cœur d’un blanchiment
Le peuple n’est plus dupe et dans un réalisme
La « Vérité » naîtra émergent de ce schisme
 
Comprenez s’il vous plaît que c’est de « dignité »
Qu’ils parlent ces « exclus » et qu’ils vont « Tout casser »
La Société se meurt… Il faut vite endiguer
Violence et panique ou le sang va couler !
 
 
 
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