C'est pourtant beau la Bulgarie! , livre ebook

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Noyée ou assassinée? Française ou bulgare? Adoptée ou clandestine? Et si le corps de cette jeune femme sur une plage de l'île de Ré n'était pas la seule macabre découverte qui attendait les gendarmes Martin's et Laurent? Et si la mort du ministre de l'Économie n'était pas une coïncidence? De la Charente-Maritime à Paris, Marie Feyt nous entraîne dans une nouvelle affaire menée tambour battant par son savoureux duo d'inspecteurs. De fausses pistes en rebondissements, c'est avec plaisir qu'on dévore ce polar aussi léger qu'entraînant.
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Publié par

Date de parution

14 juin 2013

Nombre de lectures

31

EAN13

9782342007596

Langue

Français

Poids de l'ouvrage

1 Mo

C’est pourtant beau la Bulgarie !
Du même auteur
J’avais 11 ans en 44, Éditions Actes graphiques
Un bien étrange cimetière, Éditions Actes graphiques
Pas d’avenir pour Mauricette, Éditions Publibook
On ne meurt pas le dimanche, Éditions Publibook
Le Side-car jaune citron, Éditions Publibook
Un drôle de papillon, Éditions Publibook
Encolie, Éditions Publibook
Oh ben ça alors !, Éditions Publibook
Marie Feyt C’est pourtant beau la Bulgarie !
Publibook
Retrouvez notre catalogue sur le site des Éditions Publibook : http://www.publibook.com Ce texte publié par les Éditions Publibook est protégé par les lois et traités internationaux relatifs aux droits d’auteur. Son impression sur papier est strictement réservée à l’acquéreur et limitée à son usage personnel. Toute autre reproduction ou copie, par quelque procédé que ce soit, constituerait une contrefaçon et serait passible des sanctions prévues par les textes susvisés et notamment le Code français de la propriété intellectuelle et les conventions internationales en vigueur sur la protection des droits d’auteur. Éditions Publibook 14, rue des Volontaires 75015 PARIS – France Tél. : +33 (0)1 53 69 65 55 IDDN.FR.010.0118414.000.R.P.2013.030.31500 Cet ouvrage a fait l’objet d’une première publication aux Éditions Publibook en 2013
Les personnages sont fictifs, mais les informations sont strictement exactes.
Martin’s était déjà installé à son bureau lorsque Laurent arriva tout essoufflé et volubile. — J’ai deux nouvelles à t’annoncer : une bonne et une mauvaise. Tu choisis. — La bonne, répondit Martin’s laconiquement. — Je commence par le meilleur alors. J’ai rencontré la femme de ma vie. Elle est ravissante et a un petit accent étranger qui lui va à ravir. — Tu ne pourrais pas être sérieux et penser à ton tra-vail : on a une noyée sur les bras. — Il vaut mieux que ce ne soit pas dans tes bras. — Si tu continues ainsi, je te mets à pied. — Compris. — On y va ? — Je te raconterai dans la voiture comment elle est. — Fais vite, car les pompiers et le SAMU seront arri-vés avant nous. Une fois dans la voiture, la conversation reprend : — Tu écoutes, je raconte, mais regarde bien la route. J’allais prendre un pot chez Albert. — Je ne connais pas Albert ; mais je suis sûr que tu dois être un habitué. — Mais, laisse-moi parler sinon on arrivera après l’enterrement. — On arrive ; il y a déjà les pompiers, ils ont fait fissa. S’adressant à leur médecin. Laurent demanda : — Comment est-ce arrivé ?
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— C’est une noyée. Il n’y a apparemment pas eu de crime. — C’est une personne du coin ? — Venez voir. Martin’s se pencha et dit : — Elle a l’air en bon état. Qui l’a découverte ? — Le pêcheur là-bas, qui ravaude ses filets. Martin’s s’approche du marin et lui demande : — Quand l’avez-vous trouvée ? — Il y a à peu près une heure, j’ai vu cette forme allon-gée sur la mer, j’ai appelé les pompiers. — Vous faites du bateau ici ? — Certainement pas, c’est une plage pour les surfeurs. — Pourquoi vous y êtes ? — Pour nettoyer mes filets. — On va appeler le légiste, ça ne va pas être simple pour lui de fixer l’heure de la mort avec les marées. — C’est un gars du pays, dit Laurent d’un ton suffisant. Ils retournèrent le corps. Il n’y avait rien d’apparent, à part le crâne qui semblait plutôt aplati du côté gauche et il lui manquait une chaussure ; — Vous pouvez l’emporter à la morgue. Le légiste fera l’autopsie. — Ça n’a pas l’air de quelqu’un du village, dit le pê-cheur. — On verra bien. Nous allons interroger les commer-çants, il faut identifier le corps, elle devait avoir entre vingt et trente ans.
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