50 kg perdus à deux et pas repris , livre ebook

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Voici l'histoire vécue de Roger et Chantal qui ont affronté avec succès le surpoids et la maladie grâce au mode d'alimentation conçu et élaboré par Chantal. 50 kg perdus à deux, la guerre gagnée contre le diabète, ça se raconte ! Une autre philosophie alimentaire, manger à sa faim en maigrissant et sans regrossir, les « non-recettes » de Chantal, son secret de « la lichette » sont à découvrir dans ce témoignage. Exprimé dans le langage de tous les jours, ce mode alimentaire est donc lisible par tout un chacun et facile à mettre en place avec des résultats rapides et spectaculaires. C'est aussi le récit d'une aventure vécue ensemble, d'un amour discret mais réel, avec un brin d'humour et une certaine philosophie dans un style littéraire simple et clair. En bref, un recueil d'infos très utiles pour qui veut maigrir et pour les diabétiques (type II), en même temps qu'une agréable lecture accessible à tous.

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Date de parution

28 septembre 2016

Nombre de lectures

7

EAN13

9782342056105

Langue

Français

50 kg perdus à deux et pas repris
Roger Arnaud
Mon Petit Editeur

Le Code de la propriété intellectuelle interdit les copies ou reproductions destinées à une utilisation collective. Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite par quelque procédé que ce soit, sans le consentement de l’auteur ou de ses ayants cause, est illicite et constitue une contrefaçon sanctionnée par les articles L 335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.


Mon Petit Editeur
175, boulevard Anatole France
Bâtiment A, 1er étage
93200 Saint-Denis
Tél. : +33 (0)1 84 74 10 24
50 kg perdus à deux et pas repris
 
Retrouvez l’auteur sur son site Internet :
http://roger-arnaud.monpetitediteur.com
 
Préambule
50 kilos perdus à deux, et aucun repris…
 
Voilà un titre qui interpelle !
 
Alors, réponse immédiate à vos questions, il s’agit bien d’une perte de poids cumulée, réalisée à deux, mon épouse et moi.
 
Aussi, pourquoi vous raconter une perte de poids à deux ?
 
Eh bien tout d’abord parce que c’est original. Je n’ai pas la connaissance d’un livre qui raconte une perte de poids réalisée en couple.
 
Et puis parce que j’en ai envie !
 
Ensuite parce que nos motivations ne sont pas les mêmes, diabète type II pour mon épouse, et prévention avant les maladies et même les accidents pour moi ainsi qu’un désir de mieux-être.
 
Et nous n’avons pas repris de poids ni l’un ni l’autre, ceci mérite d’être raconté, ça peut intéresser beaucoup de lecteurs, n’est-ce pas, vous qui faites le « yoyo » avec votre poids et donc avec votre santé, comme nous l’avons fait nous aussi des années durant…
 
Ajoutez à cela que nos pertes de poids n’ont pas été réalisées simultanément mais à quelques années d’intervalle.
Malgré cela, notre nouveau mode d’alimentation est commun et actuel, même si je peux me permettre certains relâchements auxquels Chantal, mon épouse, n’a pas droit en raison de son diabète.
 
Enfin, et c’est à mes yeux le plus intéressant – il s’agit d’une aventure de couple vécue à deux et prolongée par une philosophie évolutive dans un mode d’alimentation différent.
 
Intéressé(e) ?
Alors veuillez vous introduire dans notre vie à nous, une vie plus saine, moins stressante dans laquelle les valeurs fondamentales aussi bien que les plaisirs superficiels sont remis à la place qu’ils méritent.
 
Dans cet esprit-là, je vais écrire ce livre comme cela me viendra, laissant errer mon stylo au fil de mes idées ; il pourrait être composé aussi bien de cinquante que de cent ou deux cents pages, je n’en sais rien encore mais je ne ferai pas, c’est sûr, du « remplissage » juste pour en gonfler le volume.
 
Ce livre n’entre pas dans les standards traditionnels de rentabilité ou de marketing, c’est juste une histoire, la nôtre, que je vais tenter de vous narrer telle que nous l’avons vécue et que nous la vivons encore, mon épouse et moi.
 
C’est ainsi que pour ceux et celles qui aimeraient nous poser des questions après lecture de ce livre, si nous ne sommes pas sur les réseaux sociaux nous disposons d’un site éditeur sur lequel vous pourrez nous contacter et je m’engage à vous répondre.
 
Il est une chose que je tiens à préciser avant d’aller plus loin, il n’est pas question dans ce livre d’émettre une quelconque critique ni de polémiquer en aucune manière que ce soit envers l’ensemble des professions qui sont concernées par les « problématiques » 1 de l’amaigrissement et du « bien consommer », surtout les médecins pour lesquels nous avons, Chantal et moi le plus grand respect.
 
Notre seule observation – mais c’est le simple bon sens – est que nous préférons éviter la prise de médicaments chaque fois que c’est possible et notamment lorsqu’un mode d’alimentation bien adapté remplace avantageusement une médication et ceci, bien sûr, sous strict contrôle médical.
Enfin, il y a aussi un aspect que je qualifierai de « romantique » et que par pudeur je ne développerai pas ouvertement, celui d’un couple uni, soudé face à l’adversité, qui en a vu d’autres et qui, comme tous les vieux couples s’exprime surtout par le non-dit, il y a des silences qui valent tous les discours comme vous le ressentirez dans différents passages de ce livre.
Vous constaterez aussi que dans ce récit il m’arrivera d’émettre quelques avis et opinions très personnels sur la vie en général mais je me modère, même si je refuse de me soigner, on ne se refait pas, et puis honnêtement, comment raconter son histoire, notre histoire, sans jamais se dévoiler un minimum ?
Première partie. Moi, Roger
 
Chapitre I. Présentation
Vous le savez déjà, je m’appelle Roger, né en septembre 1948, j’aurai donc soixante-sept ans cette année.
 
De caractère sportif, cela a une grande importance en ce qui me concerne, j’étais en large surpoids quand en 2007 je pesais 101 kilos sur la balance familiale pour une taille de 1,78 m (104 kilos en réalité sur la balance de mon médecin traitant laquelle, maudite soit-elle me grossit honteusement mais à juste titre de 3 kilos !).
 
J’avais beau plaisanter en affirmant que le plus difficile c’est d’accéder au quintal et qu’ensuite ça grimpe tout seul, les résultats de mes analyses sanguines, sans être catastrophiques étaient tout de même inquiétants d’autant plus que j’ai des antécédents familiaux.
Mon père, décédé à l’âge de 63 ans d’une crise d’urémie aiguë cumulait une angine de poitrine (depuis des décennies) du diabète type II, de l’hypertension, des crises de goutte, etc.
 
J’avais des taux sanguins qui dépassaient un peu les maxima, 10 à 20 % au-dessus pour la glycémie et le cholestérol et mon taux d’urée était trop élevé depuis plusieurs années, ce qui justifiait la prise journalière d’un médicament contre la goutte prescrit par mon médecin traitant de l’époque et je souffrais d’hypertension, prenant depuis 1998, chaque jour, un médicament contre cette hypertension, le COTAREG.
 
Aujourd’hui j’ai perdu 101 moins 73 à 75,5 kilos selon les saisons, soit de 25 à 28 kilos.
Comme je vous l’expliquerai plus loin, je pratique assidûment le cyclisme et en hiver, les sorties plus courtes et les repas plus copieux aidant je reprends 2 à 2,5 kilos que je reperds au printemps. Et puis j’ai le sentiment que l’être humain, l’homo sapiens a tendance à produire de la graisse à l’entrée de chaque hiver pour se protéger du froid.
 
Ce poids de 73 à 75,5 kilos, je le tiens depuis l’année qui a précédé ma retraite, soit depuis 2009.
 
La pratique du sport m’a beaucoup aidé à maigrir et à ne pas regrossir. C’est incontestable et, différence fondamentale et très intéressante Chantal n’est pas du tout sportive et doit sa perte et sa non-reprise de poids à une plus grande rigueur dans son alimentation et là, il s’agit véritablement de « régime ». Son résultat est aussi (voire plus) spectaculaire que le mien et cette opposition de nos situations respectives est vraiment intéressante à mon avis en les décrivant dans un seul et même ouvrage.
 
 
D’un côté, un homme « enrobé » qui va maigrir par l’action conjuguée d’un mode d’alimentation modéré et adapté ainsi qu’une pratique sportive assidue et adaptée elle aussi (endurance).
 
De l’autre côté, une femme « enrobée » elle aussi qui, ayant pris brutalement conscience qu’elle était devenue diabétique, va maigrir par un régime alimentaire strict et pertinemment adapté à sa pathologie, et qui ne pratique aucun sport.
Qui va gagner ?
Eh bien les deux, puisque comme indiqué dans le titre, nous avons perdu 50 kilos à nous deux et n’en avons repris aucun… !
 
Ayant commencé par me présenter moi, je continue :
 
Chronologiquement mes problèmes ont commencé en 1998, je changeais de situation professionnelle après deux années d’une gérance litigieuse dans un magasin de cycles. Deux années de bagarre, d’abord verbale, puis écrite, puis juridique, très stressante pour finalement rompre et entrer dans une autre entreprise comme responsable salarié d’un magasin de cycles.
 
Qui dit salarié dit médecine du travail, et après quelques jours je passais l’incontournable visite médicale.
 
Là, le médecin en mesurant ma tension est resté baba et moi aussi, elle était à 22 !
Par ce médecin j’ai appris que le stress créé par un grave litige professionnel engendre une hypertension encore plus forte que ne le fait un divorce difficile… c’est vous dire !
 
Alors bien sûr, prise de médicaments contre la tension (Cotareg) à doses de plus en plus élevées et après environ un an ou deux de ce régime, le Cotareg ne suffisant plus et ma tension faisant mieux que tutoyer le 15, prise chaque soir d’un bétabloquant, le Témérit.
 
Ceci a permis de stabiliser ma tension à 13,5/14, grosso modo.
 
Pour ce qui est de mes taux de glycémie et de cholestérol, j’ai pratiqué le « yoyo » pendant plusieurs années en jouant sur mon alimentation mais pas de façon rigoureuse ni drastique, un peu comme tout le monde en somme, en réduisant ou supprimant (provisoirement, bien sûr !) les fromages notamment et donc le pain, ainsi que quelques plats en sauce un peu trop riches. Cette « méthode » me permettait d’obtenir des résultats d’analyse juste en dessous des maxima, de quoi penser que tout allait bien, et puis cela remontait de façon inversement proportionnelle à mon assiduité à manger « raisonnable ». Je faisais ensuite bien sûr davantage attention et mes taux s’amélioraient, et ainsi de suite… comme tout le monde, quoi !
 
Ensuite on se replonge dans la vie et l’alimentation de tous les jours, jusqu’à la prochaine mise en garde médicale.
 
Avec le recul j’ai compris qu’il ne faut pas se contenter de petits résultats provisoires et qu’il faut faire mieux et de façon plus pérenne.
 
À cette époque (2002 – 2003) mon médecin traitant du moment me proposait de prendre des médicaments pour faire baisser mon taux de cholestérol.
C’est facile et efficace me dit-il. Je prenais du Cotareg le matin, du Témérit le soir (tous deux pour l’hypertension) plus le médicament contre

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