Partition Vol.2, Dictionnaire de musique, Rousseau, Jean-Jacques par Jean-Jacques Rousseau

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Découvrez les partitions de la musique Dictionnaire de musique Vol. 2, Dictionaries, fruit du travail de Rousseau, Jean-Jacques. Partition de style de musique classique.
La partition offre plusieurs mouvements et est classifiée dans les genres écrits, Dictionaries, langue française
Découvrez de la même façon tout un choix de musique sur YouScribe, dans la rubrique Partitions de musique classique.
Edition: Amsterdam: M. M. Rey, 1772
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24 Mo

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v-1/DICTIONNAIRE
D E
MUSIQUE.
N.
Aturel. adj.X\| Ce mot en Mufiquè a plu»
ufieurs fens. i . Mufique naturelle eft celle que
Forme la voix humaine par JVlu-oppofition à ta
Fique artificielle qui s'exécute avec des
InftruQmens. a eft Naturel, quand
. On dit qu'un Chant
ïl eft aifé, gracieux, facile : qu'une Har-doux,
monie eft Naturelle quand elle a peu de
ren,
rve^femêns de DiïTonnances qu'elle eft pro-, ;
duite par les Cordes eftentielles & Naturelles du
W
Àjodç. . Naturel fe dit encore de tout Chant3
qui n'eft ni forcé ni baroque qui ne va ni trop
,
trop bas nihaut ni , trop vite ni trcp lentement,
la fignification4°. Enfin la plus commune de
eft la feule dontce mot , l'Abbé Broaard n'a
point parlé s'applique aux Ions ou Modes, dont
la Gammel^s Sons fe tirent de ordinaire fans
altération : de forte qu unaucune Mode Naturel
éft celui où l'on emploie ni Dièfe ni Bémol
Dans le fens exact il ny auroit cu'un feul J on
Naturel qui feroit celui d'ut ou de C Tiercé,
mais on étep.d lemajeure nom de Naturels à,
tous les Tons dont les Cordes eiienneiles n©
Tome XI. DiZ, 'de T. ILIfafi A% NET.
?
permettent qu cmportant ni Dièfes ni Bémols
,
tels fontla Clef ni de l'un ni de l'autre :n'arme
Modes mi-Modes majeurs deG & deF lesles ,
Voyez Clefs trans-neurs $A& de D &c., (
Transpositions.)posées Modes,,
Italiens notent toujours leur Récitatif auLes
Naturel les changemens de Tons étant fi fré-, y
quel-quens & les Modulations fi ferrées que de,
la un Mode,que manière qu'on armât Clef pour
n'épargneroit ni Dièfes ni Bémols pour leson
autres & Von fe jetteroit pour la fuite de la
, ,
tres-Modulation dans des confufions de fignes,
laemr-arrafïantes lorfque les Notes altérées à,
par un figne fe trouveroient parClef
figne contraire accidentellement. (Voyez Ré-!e
citatif. )
au Naturel c'eil folfier par les nomsSolfier ,
1"des Sens de Gamme ordinaire fansnaturels ,
égard au Ton où l'on eft. (Voyez Solfier. )
C'étoit dans la Mufique GrecqueNtTE./. /.
Corde ou la plus aiguë de chacunla quatrième
qui fuivoientTétracordes les deux pre-des trois
l'aigu.du grave àmiers
étoittroifieme Tétracorde conjointQuand lec'étoit le Synnéménon^avec le fécond,
Ncte-Syrméméncn.sappelloitfa Nete&
Tétracorde portoit le nom detroifiemeCe
étoitquand il disjoint ou féparéDiézeugménon
l'Intervalle d'unpar Ton & h Netêfécond ,du
Netc-Diéieugménon.appelloits'N £ U. 3
portant toujoursEnfin Je quatrième Tétracorde
fa Nete s'appeîloitte nom d'Hyperboléon aufli,
toujours Nete-Hyperboléon.
deux premiers Tétracordes, com-A l'égard des
toujours conjoints ils n'avoientme ils étoient ,
ni l'un ni l'autre : la quatrièmepoint de Nete
Corde du premier étant toujours la première du
fécond s'appelloit Hypate Méfon & la quatriè-, ,
me Corde du fécond formant le milieu du
fy(terne s'appelloit Mèfe.,
Nete dit Bclce quafi mate td infe*> efî ,y ,
Diagrammesrior car les Anciens dans leurs;
mettoient en haut les Sons graves, & en bas les
Sons aigus.
Sons aigus. VoyezNetcjïdes. ( Lepsis. )
Neume./. Terme de Plaint-Chant. La Neu~f.
me eft une efpece de courte récapitulation du
Chant d'un Mode, laquelle fe fait à la fin d'une
une fimpleAntienne par variété de Sons & fans
joindre aucunes paroles. Les Catholiques autori-y
fent cefingulier ufage fur un patTage de Saint
Auguftin qui dit que ne pouvant trouver des pa-, ,
roles dignes de plaire à Dieu l'on fait bien de lut
v
adreffer des Chants confus de jubilation. » Car
Ȉ qui convient une telle jubilation fans
paro» les fi n'eftce à l'Etre ineffable?, &
combinent célébrer cet Etre ineffable lorfqu'on,
» ne peut ni fe taire ni, rien trouver dans fes
»tranfports qui les exprime, fi ce n'eft des
» Sons inartisulés » ?
A aNE U.4
Neuvième. de la Seconde. CetOctavef.f.
Intervalle porte le nom de Neuvième, parceqiri!
faut former neuf Sons confécutifs pour arriver
Diatoniquement d'un de fes deux termes à
Tautre. La Neuvième eit majeure ou mineure,
comme la Seconde dont elle eit la Réplique.
(Voyez Seconde.)
fuppofition, qui s'appelleIl a un Accord pary
Accord de Neuvième pour le diftinguer de
l'Ac,
cord de Seconde qui fe prépare, s'accompagne
,
& fe fauve différemment. L'Accord de
Neuvième eft formé par mis à la Baffe, uneun Son
Tierce au-deffous de l'Accord de Septième; ce
qui fait que la Septième elle-même fait Neuvième
fur ce nouveau Son. La Neuvième
s'accompagne par conféquent , de Tierce, de Quinte , &,
La quatrièmequelquefois de feptieme. Note du
celle furTon eit généralement laquelle cet
Accord convient le mieux mais on la peut placer;
par-tout dans des entrelacemens Harmoniques.
La baffe doit toujours arriver en montant à la
qui NeuvièmeNote porte la Partie qui fait la;
Neuvième doit fyncoper & fauve cette Neuviè-,
me comme une Septième en defcendant
Diatonid'un Degré furquement l'oclave , fi la Baffe
en place ou fur larefte , Tierce fi la Baffe,
desdeTierce. (Voyez Accord,cend Supposition,
Syncope.)
Mode mineur l'Accord fenfible fur laEn
Méperd le nom d'Accord de Neuvièmefiante &E.K O *
Quinte fuperflue. (Voyez Quin-prend cekii de
te Superflue. )
Niglarien. adj. Nom d'un Nome ou Chant
d'une Mélodie efféminée & molle comme Arif-,
tophane fon Auteur.le reproche à Philoxène
certains Can-Noels. Sortes d'Airs deftinés à
tiques que le peuple chante aux Fêtes de Noël.
Les Airs des Noëls doivent avoir an cara&erê
champêtre 8c paltoral, convenable à la (implicite
des paroles, & à celle des Bergers qu'on
fuppofe les avoir chantés, en allant rendre hommage à
l'Enfant Jefus dans la Crèche.
N(EUDS. On appelle Nœuds les points fixes
mife en vibra-dans lesquels une Corde Sonore
aliquotes vibrantes, qui rendenttion fe divife en
autre que celui de la Corde entière. Parun Son
l'une feraexemple fi de deux Cordes dont tri-,
l'autre , on fait fonner la plus petite , laple de
répondra non par !e Son qu'elle a com-grande ,
Corde entière mais par TUniffon de la plusme ,
qu'alors cettepetite parce grande Corde au,
;
dans falieu de vibrer totalité fe divife , &,
Tibre que par chacun de fes tiers. Les pointsne
divifions tiennentimmobiles qui font les & qui
forte lieu de Chevalets, font queen quelque ce
a nommé les Nœuds, & il a nommeM. Sauveur
Ventres les points milieux de chaque aîiquote où
la vibration eft la plus grande & où la Corde
ligne de repos.s'écarte le plus de la
lieu faire fonner une autre CordeSi, au de
A3,
6 NOr,
pins petire on divife, la grande au point d'une
de fes aliquotes par un obflacîe léger qui la gêne
fans l'affujettir , le même cas arrivera encore en
faifant former une des deux parties car alors;
les deux re'fcnneront à l'Unifïbn de la petite , 5c
l'on verra les mêmes Nœuds & les mêmes
Ventres que ci-devant.
Si la petite partie n'eft pas aliquote
immédiate de la grande, mais qu'elles aient feulement
une aliquote commune alors elles fe diviferont
;
toutes deux félon cette ahqnote commune &,
Ton verra des Nœuds & des Ventres même,
dans la petite partie.
Si les deux parties font incommenfurabîes
c'eft-à-dire, qu'elles n'aient aucune aliquote
commune ; alors il n'y aura aucune réfonnance ou,
partieil n'y aura que celle de la petite , à moins
pour forcerqu'on ne frappe afiëz fort i'obftacle,
réfonner la Corde entière.& faire
moyenSauveur trouva le de montrerf M. ces
l'Académie d'uneVentres &: ces N&#

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