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66
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Langue
Français
Poids de l'ouvrage
2 Mo
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Théâtre (ksTolïesMarù/nt/.
I.APORTE,
Opérette de Salon,
PAROLES
D E
delà (niette,Jules
-^^u<iquei^
1 111 m w%. rir HllËi HEKQii
A.-\
JuinReprésentée sur le THÉÂTRE DES FOLIES MARIGNY, le 9 1864.
int»»r(*alé.Partilion CHANT et PIANO et dialdgu»»
PERSONNAGES.
KOBIN. jeune a\ocal MF TÉTREL.
DARCIEK.FANNY, ha temme m'.'''
MARCEL DE TOI RVILLE FAIIVRE.MV
AMELIE.ESTELLE, sa femme m!'*"
supprimée.A deux personnages, les rôles de Vim< < / et d'Eslilli sonl
€"Paris, Ed"'"'fomm'"'E. GERARD et
ci-devantAïK iennp M"."
dAnfin,rue de la fJiausséf N? 1.
DAUPHIXE.MF.ISSONMF.R, RUE
Bnulevart des Capucines.)(au roiu du
AXLANfeÇ.MM-MSnr.
é/^i^^'^:^î^:>
SPARI
.^.Et'^or»BAISER A LA PORTELE
OPERETTE.
Prtioles de JiLES DE L\ GUETTE. Musique de Charlks LECOCQ.
OUVERTURE.
Alleçro.
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lu salon fi'fs KinH)l<',_F((it»' au fbiid._liii fÇin»piA<»n a gauche.-lin canapé ou faiitoiiil à droife.
FANNY
dVii toiiilx' d(^ mon haut! la visita homme!. Il est peut-être un peu éeer\»*-
qiip je viens d«^ recevoir m'a vJM'itahle- l«', braque, bourru quelquefois... mais je
iiMMif /'toiiii/'*'!. (loniiiH'nl^iin v.Vn'ui erois quequi cela tient à son ftbseme r<mipK'-
vit'iif ira|>|i«'r à iiotn* port»' pour prirr te dt> client»'le...çà le toui mente, Tir-^:à
mon mari de plaider sa eause?.. jeCar rite.,chez lui le fond est excellent ...quand
suis la femme de maître Kohin, dont le il crie, je crie aussi... m^me fortplus
nom est iiiseril sur le fahh'aii des avo- que lui assez s(»u\ent..et la paix revient
cats et dont, malheureusement, la paro- alors bien vite dans le nuMiage... Va-t-il
le se fait rarement entendre... (le etre contpau- heureiix . . enl . .sat isfait . . d'avoir
vie K(»hin!. a' petitn'est point un nuMihant enfin un t(»ut procès!!
N^ i. COUPLETS.
Moderato.
FA^^Y. 1^ I
Von.
Quai
V.nv
iMdjdÈÊ^^^
ri\i\(t.
Ce cher a_nii,ce_Ia fait pei_ ne, N'a
B^IMÛLitTff
'M— -rw
Quat.
^Efii
^^luMmî^ ^^^^^^^^^9 ê
crois, De.puis que rii^nien nous en _ <haLne Depas eu le plaisir, je
j!' ' s^tej. j.
lr<jgino.
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'£^t-rzw
ff.
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u_iM' spuV fois.plai-der On le voit à lamoindip rlio_s** De
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-1.
TTInrrJm^ '^mm•êW -é -à
<l(ir.
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liBg^=£^^ ^ ^^
rail. a tempo.^
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son é_tu_de s'écliap _ per, De son é _ tu_de s'échap_ per. Poui'
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Pour cou-i'ir a_prèsu_ne <;au _
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pouvoir jamais l'attrap-per!Sans pouvoir jamais lattraper Sansse
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COUPLET ""^ "^^'
itT^^w^=^=W MLg^ p
ter _ le, Cha_C'est ain-si que sur cetJe
bon.heur. Cet_te re_cherche menson _ g'e _ re Est_ cun €Ourt a_près le
^^H?V ^.flUH r->4r-pM^r
de la vi»e Ondu coeur. On s'apperçoil^quandu_ne tor_tu_re
E^ £=g=i^r ^ir^-tt^^
Querive au bout du che _ min,rive au bout du che _ min, On ar _ar_
^ ¥^^f=^=pt^^^m m
sous labon_heur que en _ vi _ e Vingt' fois s'est trou_véle Ion
^-^-v^M^^
enmain ! One ie bon-heur que lon _ vi _
j)^__} [^^.àI ^-f^^ËjM' F F M F
la main!trouvé sous la main Vingt fois s'est trouvé sous_ e Vingt fois s'estcontre!. C'est pour une semblable cau-
S€EI\^E 2.
se que Ton est venu...
FANNY, ROBI\.
BOBIN.
BOBIN, entrant lout essoufflé et
C'est sans doute ma ravissante cliente?.
portant une robe d'avocat snus sou bras.
FANNY.
Ah! j'en 1i»*ns une enfin!.,
Non., du tout...
FANNY.
BOBIN.
Tu rentres cinq minutes trop tard...
seii-Tant mieux! le même plaidoyer m»'
BOBIN
vira.. j'ai justement préparé en route des
Qu'est il donc arrivé?.. arguments irrésistibles., et pour m'habi-
tuer parlerà devant le tribunal., j'ai
FA.NNY.
cette robe.loué Il met la robe.
Tn»» affaire superbe...
FANNY.
Bobin (iepiise la robe sur le canapé.
C'est un mcmsieur charmant,un hont-
BOBIN.
me aimable de bonneet façon,lu pour-
Tiens!, el en ai trouvé une dehors!. r.is en juger il va revenir....j dans un
nu'ii fait deux en jour! instant....Ça un ahîahîdi-
ra-t-on naaintenant que je suis un avo-
BOBIN (se regardant dans la glace)
cat sans causes?., me voila lancé, nous
rouliM'ons bientôt voiture!. Ah!.
FANNY. FANNY.
Là!., je le disais!... Je ne comprendsquand pas ce que l'on peut
a\(»ir à lui reprocher!.
BOBIN.
BOBIN.
jeJe cliaiigp notre mobilier, loup
un appartniit'nt dans la chaussée-d'.\n- Tiens, tiens, liens!..
tin.. j'aurai un grand salon daii> lequt'l
F.\NNY.
nous pourrons jouer la comédie!.je v>ii\
un laquais tout g.tlniiué pour m appoit^r Il a vraiment des femnies quiy sont
nu's Iet1r»*s sur un pl.it daiiijent et un d'un ridicule!..
nègre me cirer mes bctttes!..pour
Fdnny.BOBIN be id|)|)ro« liant de
FANNY.
Oli! pas ma cliente!., pas ma cliente.
Voyons mon ami, caus(»ns sérieuse- EH»* porte un nom très joli; notis le
ment... si (*"la est possibl*».. mettrons en charade à notre premiè-
re soil'ee. (iTi'intranI une carte de \isite.;.
BOBIN.
Tiens, \ois,de Toiirville.. une tour et
«I«* uf demande pas nii»'U\. Fijrurf*- une ville...
toi, ma clièrt*, que j'ai rencontre unn
FANNY.
charmant»» j«'une femme qui vt*ut me
!>»'rnnfo'r son procès... Il s agit d'une sé- Tourvilleî que me dis-tu?.
paration...
BOBIN.
FANNY.
Oui, parbleu! une toui- et une ville!
Tne séparation! la plaisante ren- comment tu ne coniprends pas?.