PHARMACOPÉE ÉGYPTIENNE - II / ERUV III, 2005

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Les pages qui suivent ici se proposent d’isoler, la « Pharmacopée égyptienne - II », débutant dans ce volume p. 382 pour se terminer p. 487, de, la « Gynécologie clinique égyptienne - I », débutant les pages précédentes, et s’étendant de la page 351 à la page 382, qui a été mise le ligne le 24 décembre 2018 sur academia.edu à partir du site habituel : « Histoire de la Médecine en Égypte Ancienne » (http://medecineegypte.canalblog.com).
Cette partie présente comporte également les abréviations et la table des matières qui sont incluses à la suite dans le volume initial papier de l’ERUV - III.
.
La « Pharmacopée égyptienne - II », prolonge ainsi l’étude des formulaires pharaoniques commencée avec la « Contraception » dans l’ERUV - II p. 564 à 592, mise en ligne dans le module « Pharmacopée égyptienne - I », comme la suite du sujet concernant « La limitation des naissances en Égypte ancienne », dans « Histoire de la Médecine en Égypte Ancienne » (http://medecineegypte.canalblog.com) : R.-A. JEAN, A.-M. LOYRETTE, « L’avortement en Égypte ancienne. Quatre hypothèses papyrologiques. Première partie (pBerlin 192). Le sorgho. Le céleri », dans Histoire de la médecine en Égypte ancienne, Cherbourg, 13 mai 2014 ; — « L’avortement en Égypte ancienne. Quatre hypothèses papyrologiques. Deuxième partie (pEbers 797). La menthe », dans Histoire de la médecine en Égypte ancienne, Cherbourg, 15 mai 2014, — «L’avortement en Égypte ancienne. Quatre hypothèses papyrologiques. Troisième partie (pEbers 798 et 799). La terre cuite. Les dattes », dans Histoire de la médecine en Égypte ancienne, Cherbourg, 17 mai 2014. Voir également pour les autres médications, la « Pharmacopée égyptienne - III », la « Pharmacopée égyptienne - IV » ...
La suite logique de cette très longue étude sera également publiée en plusieurs parties découpées selon les spécialités médicales.
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27 décembre 2018

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13

EAN13

2-84269-695-6

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Paternité, pas d'utilisation commerciale, pas de modification

Langue

Français

Poids de l'ouvrage

9 Mo














































































































… / … p. XIV : suite partielle de l’introduction de Sydney H. AUFRERE



NB : Les pages qui suivent ici se proposent d’isoler, la « Pharmacopée égyptienne - II »,
débutant dans ce volume p. 382 pour se terminer p. 487, de, la « Gynécologie clinique
égyptienne - I », débutant les pages précédentes, et s’étendant de la page 351 à la page 382, qui
a été mise le ligne le 24 décembre 2018 sur academia.edu à partir du site habituel : « Histoire
de la Médecine en Égypte Ancienne » (http://medecineegypte.canalblog.com).
Cette partie présente comporte également les abréviations et la table des matières qui sont
incluses à la suite dans le volume initial papier de l’ERUV - III.

La « Pharmacopée égyptienne - II », prolonge ainsi l’étude des formulaires pharaoniques
commencée avec la « Contraception » dans l’ERUV - II p. 564 à 592, mise en ligne dans le
module « Pharmacopée égyptienne - I », comme la suite du sujet concernant « La limitation des
naissances en Égypte ancienne », dans « Histoire de la Médecine en Égypte Ancienne »
(http://medecineegypte.canalblog.com) : R.-A. JEAN, A.-M. LOYRETTE, « L’avortement en
Égypte ancienne. Quatre hypothèses papyrologiques. Première partie (pBerlin 192). Le sorgho.
Le céleri », dans Histoire de la médecine en Égypte ancienne, Cherbourg, 13 mai 2014 ; —
« L’avortement en Égypte ancienne. Quatre hypothèses papyrologiques. Deuxième partie
(pEbers 797). La menthe », dans Histoire de la médecine en Égypte ancienne, Cherbourg, 15
mai 2014, — « L’avortement en Égypte ancienne. Quatre hypothèses papyrologiques.
Troisième partie (pEbers 798 et 799). La terre cuite. Les dattes », dans Histoire de la médecine
en Égypte ancienne, Cherbourg, 17 mai 2014. Voir également pour les autres médications, la
« Pharmacopée égyptienne - III », la « Pharmacopée égyptienne - IV » …
La suite logique de cette très longue étude sera également publiée en plusieurs parties
découpées selon les spécialités médicales.












PHARMACOPÉE ÉGYPTIENNE - II























































































Richard-Alain JEAN, Anne-Marie LOYRETTE382
Observation des évolutions. – À la suite du traitement, la malade était revue par le médecin
qui devait pouvoir se prononcer sur l’évolution de la maladie, constater une aggravation ou
un échec, proposer une autre médication, ou bien déclarer la guérison.
– Constatation d’une aggravation : « si (cela) revient … » (P. Kahun 13. 2, 11-18 : b).
– Vérification de la guérison obtenue à la suite d’un traitement médicamenteux (P. Kahun 9.
1, 27-29 ; 12. 2, 7-11 : cf. infra).
– Vérification de la guérison obtenue à la suite d’un traitement physique (cf. infra : P. Kahun
7. 1, 23-25, note h).
– Vérifications des cicatrisations : des plaies anales dues à des hémorroïdes, des abcès, des
fistules (P. Chester Beatty VI. 6. 4,11- 5,5).
Nous trouverons encore les jambes féminines mentionnées à titre comparatif en P. Londres L
14, 5,1 - 6,1. Nous renvoyons à : Chr. LEITZ, Magical and Medical Papyri of New Kingdom,
Hieratic Papyri in the British Museum, VII, British Museum Press, London, 1999.

Voir peut-être aussi un passage du P. Leyde I 345. vs. XXIII, 1 mais dont il ne reste rien que

le titre : « Conjuration des jambes douloureuses » et qui pouvait bien aussi devoir s’appliquer… / … p. 382 : pour la « Pharmacopée égyptienne - II »
aux problèmes des jambes féminines.

III. LES TEXTES
3.1. P. Ram. III A 7-8.
3.1.1. Le texte
Comparer avec : P. Kahun 7. 1, 23-25. Parallèle // membre inf. : pieds, jambes.
P. Kahun 12. 2, 7-11. Parallèle // membre inf. : jambes.
P. Kahun 13. 2, 11-18. Parallèle // membre inf. : jambes.
P. Ebers 837. 97. 11-12. Parallèle // membre inf. :jambes.
m á¡ ò7a sá íH µ á ∆ uUU [≈C|ɵ≠… [¢]≠…
7b –í á ¢ [...]á
AN7c – Cí [...] [...]á …µ∆
mA Aá ≥8 òu sΩì [...]údUµ ∆ çµg∆ ÁúC¿ UÆ∆ ≈
1989, p. 29-31 (et note 10). Mais le cas n’est pas toujours désespéré, voir en P. Ebers 205. 41, 13-21, où un sujet
très résistant peut, après un délai de lutte personnelle (devant correspondre aux défenses immunitaires
naturelles), suivi d’un traitement énergique à base d’acides aminés et de moisissures (pratiquement
préantibiotique : cf. infra, 3.4.1. Pharmacodynamie, et Pharmacologie comparée), être finalement sauvé. OSÀ PROPOS DES TEXTES MÉDICAUX DES PAPYRUS DU RAMESSEUM N III ET IV – II : LA GYNÉCOLOGIE 383
7a Si tu examines (a) une femme souffrant (b) de (l’une de ses) jambe(s) (c), de (l’un de ses)
pied(s) (d)
7b […] alors tu diras à ce sujet (e)
7c […] […] et tu lui (prépareras) (f) des médications
8a graines de gousses (fraîches) de caroubier (g), graines groupées (h) de soude (i).
8b […] Broyer fin et mélanger avec
HNotes. – (a) mAA : Wb. II, 7,1-10,7. Alex. 77.1576, « voir, apercevoir, regarder …uUU
constater, surveiller … » ; 78.1596, « contempler, superviser »; 79.1097, « examiner (un
malade) ». Alex. 77.1577, « inspection ». Voir le copte bal (SB) : KoptHWb, 22. W.
VYCICHL, 1983, p. 27, « œil », ou bel (ALFO).
¡
(b) mn, « souffrir » : cf. « La Contraception », § 1.3.2 : La dyspareunie, P. Ram IV. AC|
2-4, et note (a).
òá(c) wart, « jambe » (cf. supra : 1.2.1 Anatomie).ɵ≠
á
(d) rd, le mot est à rendre, dans ce contexte clinique par « pied » au sens restrictif (cf.¢≠
supra : 1.2.1 Anatomie). Voir aussi : infra, P. Ebers 837. 97, 11-12, note (e) dans le cas d’une
traduction par « jambes ».
–íá(e) La formule : ¢ Dd.xr.k r, « alors tu diras à ce sujet » introduit le diagnostic.á
Voir par exemple, Dd.xr.k r.f, en P. Ebers 36,8. Ou encore la forme, Dd.jn.k r.f, en P. Smith
47. 16,20.
(f) La formule : (jr).xr.k n s, « et tu lui (prépareras) » introduit le traitement comme en P.
Ebers 36,9.
A 174ì(g) C’est-à-dire les graines ( ) des cosses ( ), extraites d’un fagot ( ) de gousses de∆ “áAcaroubier, DArt, (Ceratonia siliqua L.) : cf. « La Contraception », § 2.3.2,cUµ∆
P. Ebers 783. 93, 7 et note (f).
(h) Une plante peut être utilisée entière, comme le laisse à penser pour la plante HmAj.t les P.
Eb. 509. 69,16, 858. 104,12, 801. 94,15, 802. 94,17, 460. 65,21 et Louvre E 4864 v° 2,4, ou,
useulement pour une partie comme la désignation Ssp.t, Wb. IV, 536,14 - 537,6. WbDrog,çµAuó µ506-507. Voir : en P. Ebers 203. 41,3, en P. Hearst 210. 13,16 (= P.çµèHUg g∆, Auó µEbers 753. 89,22) et en P. Hearst 3. 1,2 (=P. Ebers 32. 11,4) ; K , en P. Ebersçµ g ∆
32. 11,4, en P. Ebers 753. 89,22 (= P. Hearst 210. 13,16) en P. Ebers 514, 69,21 (= P. Hearst
174 ì Signe (Gardiner)

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